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The Talos Principle 2 plonge le joueur dans un univers onirique et cérébral, où la réflexion et la remise en question de ses propres convictions sont les maîtres mots. Cette suite explore les thèmes philosophiques du premier opus avec encore plus de profondeur, invitant à une méditation sur l'amour, l'écologie, le futur de l'humanité et la place de l'intelligence artificielle.

Le jeu se déroule dans une dystopie futuriste où l'humanité a disparu, laissant place à des robots évolués. Le joueur, incarnant l'un de ces androïdes, se retrouve propulsé dans une mégastructure labyrinthique, guidé par une intelligence artificielle énigmatique nommée Elohim. Au fil de son périple, il devra résoudre des énigmes de plus en plus complexes, tout en faisant face à des choix cruciaux qui détermineront le destin de ce monde virtuel.

La poésie du récit se déploie dans les décors somptueux et les dialogues énigmatiques, laissant libre cours à l'interprétation du joueur. Chaque élément du jeu, du plus petit détail à l'intrigue globale, semble receler un sens caché, invitant à une réflexion profonde sur les questions existentielles qui hantent l'humanité.

The Talos Principle 2 est une expérience unique qui marquera durablement les joueurs. Son univers riche et complexe, ses énigmes stimulantes et sa narration poétique en font une œuvre d'art vidéoludique à ne pas manquer.

Un petit Die and Retry sans prétention mais qui fait le boulot. Pas trop long, pas trop dur non plus. Le coté graphique des projections écarlates sur une toile achromatique retranscris bien la juste dose de violence à ces chapeaux qui s'affrontent dans une vue top-down. On est globalement satisfait de 12 is better than 6, mais pour le prix on preferera le 6 !

J'ai enfin pu jouer à ce jeu près de 4 ans après sa sortie. J'en avais beaucoup entendu parler comme un excellent jeu, mais n'avais pas trouver de temps à y consacrer jusqu'alors, puis pressé par la sortie toute récente de Jedi: Survivor, j'ai voulu acquérir la base de l'histoire de ce spin-off SW. Mon avis final se sanctionne par un pouce rouge, mais en réalité je suis plutôt mitigé (edit : finalement non, pouce bien rouge). Les évaluations steam ne permettant pas de mettre une note ou un avis moyen, j'ai choisi l’évaluation négative afin de ne pas inciter de gens et les décevoir au final, car moi, j'ai été déçu.


Tout d'abord l'environnement, terriblement lassant. Quelques planètes sur lesquelles s’enchaînent les aller-retour. La mécanique de gameplay voulant nous faire voyager pour acquérir une compétence nous servant à débloquer un acces sur les chemins deja arpenté auparavant c'est tous le concept de l'exploration de ce jeu. Sur ces dites planetes, les maps ne sont au final pas bien grandes et les assets graphiques douteux. Ce n'est pas vraiment horrible, mais ce n'est pas très détaillé et les zone sont assez vide. Certes, le jeu à 4 ans mais en terme de comparaison, un Horizon Zero Dawn sorti en 2017, disposant d'une map énorme et de multiples biomes riches aux bestiaires très fournis fou une claque monumentale à ce Jedi Fallen Order... Au niveau du level design, les raccourcis à débloquer, à la manière d'un Souls-like (dont beaucoup de choses ont été reprises), les différents chemins, les cachettes secrètes, etc.. sont intéressants mais il est parfois dur de s'y retrouver tant la carte en 3D est mal foutue et peu intuitive. Sur une planète en particulier (Dathomir) c'est un véritable noeud de chemin en 3D ou vous aurez du mal à vous situer et seulement à force de passage et d'exploration vous arriverez à vous repérer dans ces maps pourtant modestes. Ce qui manque cruellement également dans cet environnement c'est l'absence de PNJ, hors ennemis, qui crée un réel sentiment de solitude et d'ennui au fil de l'aventure. Pas de ville, de lieu en proie à des batailles permanentes, ou de zones sous influences. On se contente d'avancer et de poutrer du mob, puis de les faires repopent au feu de c... à la zone de méditation.

Que dire donc du gameplay, Fallen Order n'a rien inventé et reprend litteralement le systeme des Dark souls. Vous avancez, vous tuez les ennemis, et vous convertissez votre expérience en compétence sur les zones de méditation. Bien sur si vous mourrez vous perdez votre xp que vous pouvez récupérer en éradiquant le vilain qui vous à occis. Finalement, j'ai vraiment l'impression d'avoir joué à un Dark Souls de wish dans un univers galactique. Tout est pompé, mais rien n'est améliorer, bien au contraire. Si dans Dark souls l'on peut incarner diverses classes et choisissant divers équipements et des armes variées, ici vous êtes condamné à votre sabre laser et un poncho (et même pas de pistolet laser). Soit, nous sommes un Jedi, alors allons découper tout ce qui nous passe par la main.. mais la encore, pas grand chose ne se découpe. Hormis quelques cables dans l'environnement et les créatures (après plusieurs coups), vous ne pourrez pas démembrer les humanoides, il n'y a pas de sang, très peu d'enchainements variés, plutot poussifs et molassons et des finish move aussi nombreux que les différents ennemis peuplant le bestiaire (pas grand chose quoi). Je ne vous parle pas des animations de course de Cal Kestys qui donne la réel sensation d'avoir un balai dans le cul (motion capture ?) à chaque fois qu'il court. Au final, avec notre sabre laser ou l'on s'attend au moins a sauter dans tous les sens à la vitesse d'un gymnaste olympique et à multiplier les victimes qui frôleraient notre arme suprême, on se retrouve à devoir faire mille esquives et prendre les ennemis un par un pour briser leur garde et les marteler de coups jusqu'à ce que mort s'en suive (hormis les stormtrooper de base bien sur) car leur bouclier solides se rechargent instantanément après chaque coup qui n'est pas un enchaînement. On reste sur le sentiment d'un sabre laser finalement pas plus efficace, voir moins, qu'une épée classique et cela apporte énormément de frustration. Je comprend qu'il faille de la difficulté, mais cela ne colle pas à l'univers et donc il me semble que le système de jeu ne soit pas le plus adéquat pour une adaptation d'un star wars.

Pour finir parlons du scénario. L'histoire est naive, convenue et peu intéressante. Les personnage, à savoir le héros que vous incarnez et ses acolytes, n(ont aboslument aucun charisme et bénéficient tous d'un design qui vous questionnera. Vous n'aurez donc d'interet ni pour l'histoire ni pour ses protagonistes et seule la conclusion, dans son dernier chapitre saura vous faire esquisser un sourire avec un peu de fan service mal amené mais sympathique. Et encore une fois pour appuyer le fait que le gameplay ne colle pas avec l'adaptation d'un SW, on ne retrouve même pas une phase de bataille en vaisseau spatial ou un chapitre différent amenant de la diversité de jeu pour mieux coller à l'univers. Par contre pour les complétionistes, vous allez pouvoir arpenter ce monde inintéressant pendant des heures pour vous y retrouver et compléter les trophées vous demandant de collecter par exemple tout plein de skin moches (pour un jeu solo, l’intérêt est limité n'est ce pas ?) pour votre vaisseau que vous ne contrôlez pas, votre sabre que vous distinguez à peine ou votre poncho...

Bien sur 4 ans plus tard, certains bugs sont toujours présent, comme le noclip, qui à plusieurs reprises m'a vu tomber à travers la map ou dans un pan de mur. Pas de voyage rapide, la seule solution pour réintégrer les allées prévues pour le jeu passe par un retour au menu avec perte de la progression depuis la précédente méditation. Des problèmes de hitboxes bien sur et de caméra, mais je vais m’arrêter la. En me relisant je crois que finalement l'option moyenne ou neutre n'est pas nécessaire pour l'évaluation de ce jeu, tant j'ai pu lui trouver de défauts à mon sens, mais peu de qualités. Le point positif c'est que d'avoir fait ce jeu m'évite plus grande déception d'avoir à affronter tout ça sur un nouveau jeu payé plein pot comme Jedi : Survivor sur lequel je ferai finalement l'impasse !

Avec "A Plague Tale: Requiem", les développeurs d'Asobo Studio nous offrent une expérience de jeu mémorable et une suite à couper le souffle de leur premier opus "A Plague Tale: Innocence". Les graphismes sont absolument magnifiques, rivalisant avec les superproductions AAA du marché actuel. Les textures sont détaillées et les effets de lumière et de particules ajoutent une touche de réalisme à l'environnement médiéval. Mais ce n'est pas seulement l'apparence du jeu qui impressionne; si Requiem est très beau, c'est loin d'être son point le plus fort tant les autres aspects du jeu son poussés à un niveau de qualité que je qualifierai d'exceptionnel.

L'ambiance sonore est tout simplement incroyable et le travail d'Olivier Derivière est magistrale. Les effets sonores sont réalistes et immersifs, nous transportant directement dans l'action mais surtout les thèmes musicaux sont magnifiquement conçus et adaptés aux moments les plus intenses du jeu, ajoutant une couche supplémentaire d'émotion à l'histoire et rythmant le tout avec brio. Des les premiers instant on retrouve cette sonorité qui résonnait deja dans "Innocence" à un niveau encore plus mythique et ce, jusqu'au tout dernier instant du jeu pour amplifier le déferlement d'émotions que peut vous procurer Requiem. C'est simple, après avoir fini le jeu, j'ai couru acheter la Bande Originale tant elle m'a marqué et restera pour moi à un niveau stratosphérique avec de rares jeux tels que Half Life 2, Final Fantasy7 ou The Last of Us. La non-attribution du Game Award 2022 sur ce point serait incompréhensible si on ne se doutait pas que le nombre de copies écoulées entrait dans la balance des votes tant elle surclasse (la BO) celle des autres prétendant et vainqueurs (God of War et Elden Ring), de grandes qualité certe, mais ne jouant pas sur le même tableau.

Le gameplay a été amélioré par rapport au précédent opus, avec une plus grande variété d'actions et de mécanismes de jeu. Les joueurs peuvent maintenant interagir avec l'environnement de manière plus significative, en utilisant des éléments du décor pour se cacher et éviter les ennemis. Les combats sont également plus fluides et plus agréables à jouer. Au fil de l'aventure les aller et venus de différents protagonistes nous épaulant rajoutent des éléments de gameplay divers et variés qui permettent de ne pas sombrer dans la routine d'une mécanique basique et apporte la diversité d'action qu'il manquait au premier épisode. Mon seul regret sur cet opus est la diminution (réalité ou impression, je ne saurais dire) de phase de puzzle au proft des phases d'infiltration / élimination. Ou alors la relative simplicité de celle-ci qui me donne le sentiment d'en avoir moins. Il ne faudra en effet pas faire preuve d'enormément de jugeotte pour venir à bout des divers obstacles qui se dresseront devant vous, les plus difficiles étant clairement les phases mélant gardes et rats vous séparant de votre objectif.

Cependant, c'est l'histoire qui est le point culminant de ce jeu. Le scénario est captivant et émotionnellement bouleversant, avec une relation fraternelle touchante entre les deux personnages principaux, Amicia et Hugo. Leur évolution au fil des événements est à la fois réaliste et poignante. L'allégorie du monde réel est présente dans l'histoire, et les thèmes abordés sont pertinents et profonds.
Il est rare qu'un jeu provoque autant d'émotion et de réflexion. Dans chapitre IV, les mots de Lucas résonnent justement: "c'est une vraie tragédie". Les joueurs seront touchés au plus profond par cette quête d'un destin qui semble sans cesse nous échapper. Coup de maître narratif, je n'en dirait cependant pas plus sur le sujet pour ne rien spoiler maladroitement tant l'aventure mérite d'être prise avec ses représentations personnelles, ses souhaits, et ses propres sentiments.

En conclusion, "A Plague Tale: Requiem" est un Chef-d'œuvre. Les graphismes, l'ambiance sonore, le gameplay et le scénario sont tous de grande qualité. C'est un jeu qui peut être apprécié par tous les types de joueurs, mais ceux qui ont une âme sensible devraient peut-être s'abstenir. Asobo Studio a créé un véritable joyau du jeu vidéo, qui sera sans aucun doute l'un des titres qui resteront dans ma mémoire de joueur. Une oeuvre vibrante.

Petit jeu sympathique. Les musiques et le concept deja vu à la "Inside" mais en mode vehicule sont interessants.
C'est une petite aventure solitaire qui fait du bien sans être révolutionnaire. Les embuches sur votre périple ne vous demanderons pas de gros efforts de reflexion. On finit le jeu une première fois entre 2 et 3 heures. Ceux qui voudront les succès à 100% y passeront entre 5 et 6 heures.

C'est un bon jeu de simulation de combat naval, cependant je ne vais pas m'étendre plus en avant dès lors que je ne recommande pas ce jeu. J'y ai passé beaucoup de temps, mais l'implémentation des sous marins ruine tout le gameplay qui a fait les heures de gloire du jeu. Il se trouve aujourd'hui complètement inéquitable et malgré les protestations des joueurs, les devs ne comptent pas revenir en arrière, bien au contraire, ils prévoient encore plus de nouveautés farfelues.

Un jeu incroyable. Mon seul regret est d'avoir garder ce jeu si longtemps inexploré dans ma bibliothèque.
Un roman interactif, véritable expérience narrative et émotionnelle.
A mettre entre presque toutes les mains, attention cependant, l'on en parle pas mais la thématique principale qu'est la mort est assez rude, en particulier lorsqu'on parle d'enfants. J'ai moi-même pu ressentir quelques frissons me parcourir l'échine et me rappeler à quelques ressentis et sentiments de mon enfance.
L'ambiance sonore est également très immersive, ne laissant aucune place au passable dans chacun des aspects du titre.
Une fois terminée, on se dit évidemment que ces 2-3 heures sont bien trop courtes, même si l'on est pas adepte du roman narratif de base. Donc un conseil, si vous hésitez, n’hésitez plus.

Évaluation mitigée.
Je met une éval positive car il ne mérite pas une négative, mais c'est globalement très moyen.
Les combats épiques qui font la renommée de la série des Storm ne sont pas aussi grandiose que dans les épisodes précédents. De même, et par la force des choses, l'histoire est décevante tout comme elle l'a été en papier/animé.
Pire encore, des scènes/combats inexistants ont été rajoutés mais n'apportent rien sinon des phases de jeu barbantes et répétitives. (Les combats Horde se passent de tout commentaire et ceux en forme Eveil (Kyubi ou Susanoo par exemple) ne provoquent que lassitude et frustration.
Pour le reste, le mode ouvert qui vient après l'histoire principal et le DLC road to Boturo sont affligeant au possible. Des quêtes minables sans enjeux ou le farm de combat ne suscitent aucun intérêt, si ce n'est pour les devs de rajouter du contenus/temps de jeu.
Seul le mode combat libre, et particulièrement "Survie", saura se montrer intéressant avec un choix de personnage plus qu'honorable et un système de conditions bien pensé.
En bref si l'on pouvait se prononcé pour un avis neutre ou une note, je lui mettrais certainement quelquechose autour de la moyenne, ni plus ni moins.

Excellent remake d'un Chef d'Oeuvre.
Resident Evil était mon premier jeu d'horreur sur Playstation, une claque, des frissons, une aventure incroyable. Le premier jeu de ce qui deviendra une de mes séries JV préférés (même si il y en a beaucoup). Et pourtant, même avec les bons derniers volets (7 et 8), seul RE2 aura fait battre mon cœur autant que RE1.
Bref si comme moi vous étiez fan de cet épisode et n'avez pas rejouer à son remake depuis (sur Gamecube) et que la nostalgie vous prend, n’hésitez pas ! Si comme d'autres vous étiez trop jeune (voir pas né) et que vous vous posez la question, n’hésitez pas, foncez sur le jeu qui à démarré la légende !

Edit DLC :

Je pensais avoir vu le pire, mais les DLC sont une purge ayant poussé ma frustration à des sommets inespérés. J'ai ressenti tellement de choses négatives pour la première fois pour un jeu vidéo, et j'en ai fait des pelletés. Le monde se porterai mieux sans FF15 et son contenu additionnel. Merci Square d'avoir touché les étoiles pour vous noyer dans la fange.

Evaluation jeu originale :

Décevant.
C'est pour moi le pire Final Fantasy que j'ai pu faire, et je les ai côtoyé de FFIV a celui-la sans exceptions (hormis les tactics et FF world..)
Tout d'abord ce groupe de 4 emos n'a absolument aucun mais alors aucun charisme, les expressions sont limités, la fluidité manette en main est horrible que ce soit lors des déplacements (en voiture ou à pied) et lors des combat n'en parlons pas.
Niveau scénario c'est très faible, l'histoire n'est pas du tout acrocheuse, on s'ennuie, on a pas d'empathie pour ces 4 PNJs.
Les quêtes secondaires qui popent à foison sont tout aussi inintéressantes, la carte est assez grande mais pourtant assez vide, on se passerait de monde ouvert de cette qualité. Pour vous déplacez rapidement, la voiture donc, qui est d'une lassitude absolue, car incontrolable et inskipable. Les aptitudes secondaires des personnages (cuisine, peche, photo...) ajoutent une couche de niaiserie à souhait.
Pour ce qui est du système de combat, "dynamique" c'est en fait plutôt mou. Vous pouvez faire une belle esquive puis passer à l'attaque et sans comprendre pourquoi vous retrouver vidé de 70% de vos HP. Si vous esquivez/eclipse de trop vous tombez oom et la votre perso se balade inutilement tel une larve. Lors des ordres lancés à vos camarades la camera se fixe sur eux, laissant votre perso semi afk au milieu du combat. Le système de lock est également à la ramasse. La réalisation est completement à la ramasse que ce soit pour les combats mais également pour l'histoire, les mini jeux (quasi absent ou ininteressant) les transitions, déplacements ou combat de boss (les pires). La caméra est souvent, voir toujours un probleme, surtout dans les lieux confinés (frequents) et je ne vous parle pas de la traduction totalement douteuse qui amène de la confusion supplémentaire à une histoire incompréhensible et aux twists aussi grotesques qu'inexpliqués.
Même les menus sont franchement ratés, j'ai beau cherché je ne trouve pas un point réellement positif à cet opus qui ne mérite pas de porter le nom de la licence.
Un ̶F̶i̶n̶a̶l̶ ̶F̶a̶n̶t̶a̶s̶y̶ , ni pour les fans, ni pour les nouveaux venus. (A vouloir plaire au plus grand nombre, on finit par déplaire à tous).