J'ai toléré beaucoup d'approximations et de libertés : le non-respect des règles basiques d'asepsie (les gants !), l'utilisation d'outils destinés au bricolage pour des actes invasifs, les greffes de cerveau, les chariots de soin placés n'importe comment dans les couloirs de l'hôpital, l'utilisation de crayons à papier pour une chirurgie des yeux, les organes jetés au sol ou pire à l'extérieur de l'ambulance, la possibilité d'incarner un chirurgien manchot et apraxique ou encore une opération pour le moins folklorique d'une créature venue d'une autre planète (Donald Trump). Et pourtant trop c'est trop !

Je suis parvenu à passer outre les éléments exposés précédemment mais mêler les sciences odontologiques aux disciplines de médecine spécialisée est une aberration qui m'a totalement sorti de l'expérience. Cette erreur témoigne d'un manque de sérieux de l'équipe. Un laisser-aller qui empêche Surgeon Simulator d'être la simulation crédible et réaliste qu'elle tendait pourtant à être. Dommage.