Syberia The World Before, je dois dire que c'est le plus beau jeu du genre que j'ai joué depuis au moins 30 ans. Pour ceux qui aimeraient se lancer dans cette aventure pleine de superlatifs, je conseillerais fortement de faire les deux premiers opus avant. En effet, les allusions aux épisodes précédents sont légions. Pour l'opus 3, vous pouvez vous en passer.

Les graphismes :
A chaque partie du jeu, je me disais qu'il était difficile de faire mieux. J'ai été ébloui à chaque fois. Les détails de qualité photographique pullulent.
L'inventaire est toute beauté avec un système d'onglets très judicuex.

La musique:
Envoûtante bien sûr. Très bien dosée aussi. Le thème rappelle la musique de l'opus 3 parfois.

Les cinématiques:
Bienvenues et jamais trop longues. Toujours un régal pour les sens.

Le style de jeu:
On passe souvent d'un personnage à l'autre à son choix et à des époques différentes.
On a souvent des choix à faire dans les actions mais qui ne semblent pas influer sur le bon déroulement de l'aventure.

Jouabilité:
Heureusement les devs ne sont pas tombés dans les erreurs de l'opus 3 où la jouabilité était parfois irritante. Ici, on a le choix entre la manette (parfait pour se déplacer) et la souris (parfait pour résoudre certaines énigmes). Le jeu entre manette et souris est bien pensé, on passe de l'une à l'autre très intuitivement.

Les énigmes:
Elles ne sont pas prises de tête pour la plupart. Le programme vous guide un peu si vous êtes coincés. Certaines peuvent demander l'aide du crayon et du papier mais sans être indispensable.

L'histoire:
C'est un des points forts du jeu. On suit avec grand intérêt les personnages à divers stades de leur existence. Les imbrications entre les différents personnages se clarifient au cours du jeu. Même si à la fin on aurait bien besoin d'un petit tableau généalogique !

Les bugs:
Aucun grand jeu n'en est exempt. J'ai été confronté à 2 bugs bloquants seulement. L'un avec la longue-vue sur la terrasse dont je suis venu à bout en choisissant l'épisode précédent et l'autre, plus coriace lors de la réparation des automates sur la place. Là, j'ai du aller dans les fichiers locaux, supprimer la dernière sauvegarde puis renommer l'avant-dernière en sauvegarde courante.

Quelques regrets qui n'en sont pas vraiment:
La voix de Oscar est différente des précédents épisodes.
J'aurais bien aimé revoir la ville de Valadilène.
La fin, sublime, se termine tout de même en points de suspension.

Conclusion:
J'espère une suite avec la foi du charbonnier...

Syberia The World Before, je dois dire que c'est le plus beau jeu du genre que j'ai joué depuis au moins 30 ans. Pour ceux qui aimeraient se lancer dans cette aventure pleine de superlatifs, je conseillerais fortement de faire les deux premiers opus avant. En effet, les allusions aux épisodes précédents sont légions. Pour l'opus 3, vous pouvez vous en passer. Les graphismes : A chaque partie du jeu, je me disais qu'il était difficile de faire mieux. J'ai été ébloui à chaque fois. Les détails de qualité photographique pullulent. L'inventaire est toute beauté avec un système d'onglets très judicuex. La musique: Envoûtante bien sûr. Très bien dosée aussi. Le thème rappelle la musique de l'opus 3 parfois. Les cinématiques: Bienvenues et jamais trop longues. Toujours un régal pour les sens. Le style de jeu: On passe souvent d'un personnage à l'autre à son choix et à des époques différentes. On a souvent des choix à faire dans les actions mais qui ne semblent pas influer sur le bon déroulement de l'aventure. Jouabilité: Heureusement les devs ne sont pas tombés dans les erreurs de l'opus 3 où la jouabilité était parfois irritante. Ici, on a le choix entre la manette (parfait pour se déplacer) et la souris (parfait pour résoudre certaines énigmes). Le jeu entre manette et souris est bien pensé, on passe de l'une à l'autre très intuitivement. Les énigmes: Elles ne sont pas prises de tête pour la plupart. Le programme vous guide un peu si vous êtes coincés. Certaines peuvent demander l'aide du crayon et du papier mais sans être indispensable. L'histoire: C'est un des points forts du jeu. On suit avec grand intérêt les personnages à divers stades de leur existence. Les imbrications entre les différents personnages se clarifient au cours du jeu. Même si à la fin on aurait bien besoin d'un petit tableau généalogique ! Les bugs: Aucun grand jeu n'en est exempt. J'ai été confronté à 2 bugs bloquants seulement. L'un avec la longue-vue sur la terrasse dont je suis venu à bout en choisissant l'épisode précédent et l'autre, plus coriace lors de la réparation des automates sur la place. Là, j'ai du aller dans les fichiers locaux, supprimer la dernière sauvegarde puis renommer l'avant-dernière en sauvegarde courante. Quelques regrets qui n'en sont pas vraiment: La voix de Oscar est différente des précédents épisodes. J'aurais bien aimé revoir la ville de Valadilène. La fin, sublime, se termine tout de même en points de suspension. Conclusion: J'espère une suite avec la foi du charbonnier...