Basé sur l'un des FPS compétitifs les plus marquants de l'histoire du jeuxvidéo, CS:GO arrive sur le devant de la scène avec pour mission, remettre au gout du jour les graphismes veillissant d'un Counter Strike 1.6 et être un vecteur du sport électronique.

Résultat, un jeu qui a réussit à réunir les deux communautés ennemies, celle de 1.6 et CS:Source, sous une même banière pour se fragger dans la joie et la bonne humeur.

2016 oblige, fini le système de serveur archaîque ainsi que les IP serveurs à rentrer à la main (même si tout cela reste bien entendu possible) et place à la modernité avec un système de Matchmaking qui permet à tout utilisateur de rejoindre d'autre joueur dans différent mode de jeu avec la plus grande des simplicités.

Au total, c'est un peu plus de 5 modes de jeux qui sont présent pour tester notre faculté à coller quelque tir bien placé dans la tête.

• Match à mort par équipe : ici pas d'histoire, on oublie les fondamentaux de CS. On choisit son arme et on se casse la bouche avec un système de respawn infini. L'objectif? Casser le plus de tête bien sur.
  
• Course à l'armement : Retour des fameux gungames. Ici l'objectif est d'arriver jusqu'au couteau d'or et pour cela, le joueur gagne une nouvelle arme à chaque frag effectué. Les armes et l'ordre sont les mêmes pour tous.
  
• Occasionel : Destiné comme son nom l'indique au joueur occasionel, on reprends le système classique d'un CS, assoupli pour les joueurs débutants.
  
• Démolition : On s'entretue en 5v5, chaque kill nous permettant de débloquer une nouvelle arme et tout ceci sur les cartes de type "defuse".
  
• Compétitif : On est en 2016 et en 2016, on aime savoir qu'on a une plus grosse AK que notre ami. Le compétitif reprends toute les régles des compétitions officielles avec en plus un système de rang intégré afin de mettre en correlation des joueurs de même niveau.

Tout ceci est très classique, mais efficace. Ajouter à cela un système de visionnage de démo grâce à la GOTV, ou on peut enregistrer et voir ses propres matchs ou visionners des démos d'autres joueurs. La possibilité de regarder des streams de Twitch.tv directement depuis le jeu. Ainsi que la présence d'un workshop in game, une sorte de plateforme géante communautaire ou y est accessible des centaines de maps ou outils permettant au joueur de travailler son jeu ou s'améliorer voir s'amuser, on se retrouve avec une sorte de CS1.6 boostés par les nouveaux standards dues à notre époque.

On peut déplorer le peu de contenu Solo, meme si il est en partie palié par l'achat de badge d'opération spéciale. Le système de statistique n'est que trop sommaire. Et le nombre de mode de jeu est un peu juste.

Malgré tout, c'est bien ce gameplay atypique qui caractérise Counter Strike, mélange de plusieurs facteurs aussi bien tactique, économique ou basé sur l'adresse des joueurs, qui propulse Counter Strike comme l'un des jeux les plus difficiles à maitriser mais aussi l'un des plus regarder.

Basé sur l'un des FPS compétitifs les plus marquants de l'histoire du jeuxvidéo, CS:GO arrive sur le devant de la scène avec pour mission, remettre au gout du jour les graphismes veillissant d'un Counter Strike 1.6 et être un vecteur du sport électronique. Résultat, un jeu qui a réussit à réunir les deux communautés ennemies, celle de 1.6 et CS:Source, sous une même banière pour se fragger dans la joie et la bonne humeur. 2016 oblige, fini le système de serveur archaîque ainsi que les IP serveurs à rentrer à la main (même si tout cela reste bien entendu possible) et place à la modernité avec un système de Matchmaking qui permet à tout utilisateur de rejoindre d'autre joueur dans différent mode de jeu avec la plus grande des simplicités. Au total, c'est un peu plus de 5 modes de jeux qui sont présent pour tester notre faculté à coller quelque tir bien placé dans la tête. [list] [*]Match à mort par équipe : ici pas d'histoire, on oublie les fondamentaux de CS. On choisit son arme et on se casse la bouche avec un système de respawn infini. L'objectif? Casser le plus de tête bien sur. [*]Course à l'armement : Retour des fameux gungames. Ici l'objectif est d'arriver jusqu'au couteau d'or et pour cela, le joueur gagne une nouvelle arme à chaque frag effectué. Les armes et l'ordre sont les mêmes pour tous. [*]Occasionel : Destiné comme son nom l'indique au joueur occasionel, on reprends le système classique d'un CS, assoupli pour les joueurs débutants. [*]Démolition : On s'entretue en 5v5, chaque kill nous permettant de débloquer une nouvelle arme et tout ceci sur les cartes de type "defuse". [*]Compétitif : On est en 2016 et en 2016, on aime savoir qu'on a une plus grosse AK que notre ami. Le compétitif reprends toute les régles des compétitions officielles avec en plus un système de rang intégré afin de mettre en correlation des joueurs de même niveau. [/list] Tout ceci est très classique, mais efficace. Ajouter à cela un système de visionnage de démo grâce à la GOTV, ou on peut enregistrer et voir ses propres matchs ou visionners des démos d'autres joueurs. La possibilité de regarder des streams de Twitch.tv directement depuis le jeu. Ainsi que la présence d'un workshop in game, une sorte de plateforme géante communautaire ou y est accessible des centaines de maps ou outils permettant au joueur de travailler son jeu ou s'améliorer voir s'amuser, on se retrouve avec une sorte de CS1.6 boostés par les nouveaux standards dues à notre époque. On peut déplorer le peu de contenu Solo, meme si il est en partie palié par l'achat de badge d'opération spéciale. Le système de statistique n'est que trop sommaire. Et le nombre de mode de jeu est un peu juste. Malgré tout, c'est bien ce gameplay atypique qui caractérise Counter Strike, mélange de plusieurs facteurs aussi bien tactique, économique ou basé sur l'adresse des joueurs, qui propulse Counter Strike comme l'un des jeux les plus difficiles à maitriser mais aussi l'un des plus regarder.