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Recent reviews by Pinegou (j'ai hacké erems)

Showing 1-6 of 6 entries
26 people found this review helpful
1.8 hrs on record (1.5 hrs at review time)
Qui dit A Bird Story, dit Freebird Games et dit To the Moon...
Héritier de To the Moon dans l'aspect purement émotionnel, Kan Gao réussit à nous faire frémir sur cette courte histoire d'oiseau.
De quoi mettre un brin de poésie dans votre journée et de réveiller l'enfant et sa sensibilité qui, malheureusement, sont trop souvent enfouis au fin fond de nous-mêmes.
Moins puissant car moins long que son précédesseur, il annonce néanmoins une suite pleine de promesse : Finding Paradise...
...
Coming one day...
Posted 7 November, 2014. Last edited 7 November, 2014.
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8 people found this review helpful
16.8 hrs on record (13.3 hrs at review time)
Dans cette ville aux allures dystopiques, CloudBank, il s'agira de découvrir l'ombre qui la menace, la traquer, la débusquer.
Dans Transistor, vous incarnerez Red, une chanteuse mutique qui devra se battre avec, ou plutôt aux-côtés, de son meilleur allié, de son plus proche compagnon : le Transistor. C'est d'ailleurs l'une des clés de l'intrigue, que je vous laisserai mettre au jour.

Ce mix de jeu d'action en 2D isomètrique et de RPG tactique la part belle est faite à, à... à peu près tout. La narration est superbe -notamment via les monologues du Transistor (qui sont en fait un dialogue entre lui et vous/Red), la musique parfaitement orchestrée et très évocatrice selon les moments de l'histoire, et le gameplay tout bonnement jouissif mélant l'action en temps-réel pur et dur et des aspects plus tactiques lors de phases de plannifications d'attaques et de mouvements.

Au final, une partition maitrîsée et rondement bien menée du début à la fin, d'après moi sans fausse note et que je conseille particulièrement aux amateurs de poésie vidéoludique.
Posted 5 November, 2014. Last edited 5 November, 2014.
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9 people found this review helpful
1.0 hrs on record
Stranded fait partie de cette nouvelle vague de 'jeux' qui privilégient l'esthétisme au gameplay.
J'ai donc été dans un premier temps fasciné par l'ambiance que le jeu arrive à mettre en place durant les premières minutes : une bande sonore 'ambient' superbe et appropriée, alliée à des graphismes minimalistes qui fonctionnent.

Là où le bât blesse, c'est qu'au delà de ces aspects purement esthétiques, il n'y a pas grand chose. Les différents écrans que vous aurez l'occasion de voir se ressemblent, la narration est inexistante, et les possibilités de déplacement et d'interactions extrêmement limitées.
En soi, ces critères ne sont pas indispensables à la réussite d'un jeu, ou d'une expérience vidéoludique, mais ici, le contenu manque pour que les promesses qui nous sont offertes en début de jeu se réalisent. Vous finirez le jeu en une petite heure, après avoir pris soin de bien tout explorer, au cas où...

Au final, un jeu qui incite à l'introspection et à la contemplation pendant quelques minutes, avant que le mirage ne soit révélé, que la chimère ne soit débusquée, laissant place à une certaine frustration :
"- Ok, et maintenant? Ah Game Over... c'est tout ?..."
Posted 20 May, 2014. Last edited 20 May, 2014.
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5.9 hrs on record (5.9 hrs at review time)
C'était un sacré pari que d'associer un jeu de plateforme à un véritable cours d'histoire sans dénaturer aucun des deux ingrédients.

Et pourtant ! Type:Rider nous fait revivre l'histoire du plus usité des moyens d'expression : l'écriture, ou plutôt 'comment écrire'.

Des peintures rupestres au Bauhaus, du cunéiforme au raillé 'Comic Sans Ms', l'aventure nous emmène en quête de connaissances.

Pour être honnête, je ne m'attendais pas en apprendre autant, et je n'avais jusque là jamais imaginé à quel point la typographie avait pu avoir une telle importance, dans le monde des arts, du savoir mais aussi de la publicité et de l'informatique.

Le jeu, découpé en chapitres décrivants les grandes heures de l'écriture - et ici, de la typographie - nous fait revivre ces grands moments de l'Histoire au travers du prisme de la typographie.

Faites donc rouler vos deux points : et partez à la rencontre des scribes de Pharaon, des moines copistes, de Gutenberg évidemment mais aussi de Stanley Morison (à l'origine du Times New Roman) et de Vassily Kandinsky.

Le jeu en lui-même consiste à faire avancer vos deux petits colons, mêlés l'un à l'autre par le même lien invisible qui lie . et . pour en faire :. Surmontez les obstacles et collectionnez des lettres, et surtout des pages, à lire quand vous voulez, qui vous fourniront les connaissances sur la typographie à travers les âges, sans jamais vous assommer.

À noter une bande son cohérente, qui joue son rôle et de très jolis tableaux illustrants chaque chapitre.

Après avoir joué à Type:Rider les polices de caractères aux noms mystérieux n'auront plus aucun secret pour vous, et vous comprendrez tout ce que ce médium omniprésent peut représenter.

Attention néanmoins, le jeu ne plaira pas à tout le monde, si vous ne souhaitez pas passer plusieurs minutes à lire quelques pages d'historiographie, passez votre chemin, car tout l'intérêt du jeu réside dans ce savant mélange de connaissance et de jouabilité.
Posted 6 May, 2014. Last edited 6 May, 2014.
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1.5 hrs on record
Surpris par l'atmosphère que dégage ce petit jeu. Celle-la même qui finit par vous bercer, après quelques minutes de jeu, le temps de comprendre le fonctionnement de nos 4 éléments à la base du gameplay du jeu.
Recommandé pour les amateurs de jeux de plateforme originaux, ou, comme moi, de jeux à l'ambiance (notamment sonore) unique !
Posted 4 May, 2014.
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7 people found this review helpful
133.1 hrs on record (49.9 hrs at review time)
Early Access Review
J'ai acheté ce jeu un peu par hasard, et ce fut la grosse surprise.
Je ne suis pas un habitué des RPG old school, mais j'ai assez vite accroché.
J'ai tout d'abord été séduit par l'univers dépeint dans AoD, celui d'un méta-empire romain qui vivrait ses dernières décennies, en pleine décadence donc. Le but n'est clairement pas de copier l'histoire antique mais plutôt de mettre en place tout un cosmos : barbares, villes, légionnaires, intrigues des grandes maisons nobiliaires ou de militaires ambitieux, guildes profitant de cette fameuse décadence à des fins financières, ou de pouvoir.
Au milieu de ce cosmos : vous. Que vous soyiez diplomate, commerçant, mercenaire, assassin, voleur ou même érudit, vous devrez et pourrez trouver votre place et évoluer dans ce monde clairement hostile.
L'un des intérêts du jeu réside dans le fait que le combat est virtuellement optionnel. Vous aurez à combattre, mais le nombre de combats engagés dépendra de votre capacité/volonté. C'est-à-dire qu'en jouant un personnage orienté discussion (diplomatie) vous arriverez bien souvent à désamorcer d'éventuels combats. D'un autre côté vous devrez forcément affronter arme en main certains ennemis, et l'aspect combat peut bien évidemment être privilégié (guilde des assassins, gardes impériaux, arène...).
On n'aura de cesse de parler de la difficulté du jeu mais elle est réellement bienfaisante, avec Age Of Decadence, on apprend en mourant. Il faut d'ailleurs prendre l'habitude de sauvegarder régulièrement, car les "death screens" seront légions.
Dernier aspect sur lequel je voulais venir : la rejouabilité. Elle est tout bonnement énorme. Le système de quête suit le principe des corridors et portes, c'est-à-dire que lorsque que vous acceptez une quête, d'autres quêtes deviennent indisponibles. A noter néanmoins qu'il y a un grand nombre de quêtes secondaires qui ne sont pas concernées. Ainsi, jouer un assassin vous permettra de suivre un certain nombre de quêtes, tandis que jouer préteur vous permettra de suivre d'autres quêtes et même visiter d'autres lieux. Personnellement j'ai recommencé le jeu avec différents skills (notamment assassin, mercenaire et érudit) et les choix qui vous sont offerts sont différents.
Ce que je regrette pour le moment, c'est la durée de vie globale. J'entends la durée de vie entre la première et la dernière quête disponible pour votre personnage. Pour le moment, le jeu fonctionne un peu comme un livre où l'on ne peut revenir du chapitre 2 au chapitre 1 (si l'on a oublié des quêtes secondaires dans la première ville par exemple). Cet aspect est cependant à mettre en parallèle avec la rejouabilité qui, comme je l'ai indiqué est énorme.
Au moment où je poste cette évalution, le jeu en est à 60% de son développement (si je me souviens bien).
J'ai tenté ici de souligner les principaux traits du jeu, en français en espérant avoir été clair.

Au fait, n'hésitez pas à m'ajouter si vous voulez discuter un peu des possibilités du jeu, je ne connais personne encore y jouant et je pense qu'il y a de quoi discuter.

P.S.: Autre point positif, l'équipe des développeurs est très proche de la communauté des joueurs, en témoignent les réponses quasi instantanées aux questions posées et bugs reports sur le hub du jeu.
Posted 16 March, 2014. Last edited 16 March, 2014.
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