8
Products
reviewed
0
Products
in account

Recent reviews by Le Roy des Bananes

Showing 1-8 of 8 entries
2 people found this review helpful
0.0 hrs on record
Love the game but the DLC is clearly overpriced for the content.

Posted 30 December, 2023.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
2 people found this review helpful
136.5 hrs on record (21.5 hrs at review time)
The newest, freshest spreadsheet like game from Paradox.

An accountant's delight, an intendant's galor, with a touch of creamy history porn.
Posted 3 November, 2022.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
No one has rated this review as helpful yet
0.0 hrs on record
Mais que s'est-il passé chez Paradox...
Posted 1 May, 2021.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
86 people found this review helpful
10 people found this review funny
41.7 hrs on record (36.3 hrs at review time)
Abasourdi d'entendre autant de bien de ce jeu, et ce de la part de personnes qui pourtant ont écumé les jeux de gestion et de stratégie, sous toutes les formes, tous les angles. Comment ne peut-on pas voir dans un premier temps la pauvreté de ce Jurassic World Evolution, comment peut-on se montrer aussi tendre envers un tel jeu, se voulant d'un genre réclamant de l'attention, du contenu, du temps et surtout de la patience.

Disons le tout de suite, non, ce jeu n'est pas mauvais. Il fait peu de chose, mais il les fait correctement. Sa capacité à flatter l’œil et à titiller la nostalgie sont indéniables. La petite étiquette du T-Rex squelette ne laisse bien évidemment pas indifférent. Mais privé de ces quelques atours que reste-t-il ? Hé bien force est de constater : presque rien.

La comparaison avec son prédécesseur Jurassic Park Opération Genesis est inévitable, les deux titres possédant le même ADN. Plus que cela, on est là en présence d'un lien de filiation. Ces jeux se ressemblent, et la ressemblance est si frappante qu'ils possèdent un gameplay identique. Mais là où des jeux peuvent se ressembler, appartenant à un genre commun, même espacés de quelques années JWE pousse le vice plus loin qu'une simple suite ou un hommage à son illustre aîné, en effet, ce nouveau bébé lui est en tout point identique, jusque dans l'architecture des menus et des actions proposés. Pire encore, il ne propose finalement rien de plus qu'une poignée d’espèces, 42 au total si l'on compte le "bonus préco" contre 25 pour son ancètre, et un système de manipulation génétique dispensable, qui ne sert en fait qu'à modifier la couleur de vos dinosaures, wooow... Autrement, rien, nada, pas de changement. Pire encore là où le mode bac à sable de JPOG permettait de générer une île aléatoirement sur laquelle on pouvait s'adonner à notre créativité, JWE ne propose que 5 misérables îles sous-dimensionnées qui laissent sur notre faim. De plus, la gestion à été grandement simplifiée.

Parlons en justement. JWE se veut du genre "jeu de gestion" mêlé de "jeu de parc d'attraction". Et pourtant la gestion se révèle simpliste, d'une facilité déconcertante et ne posera aucun soucis à quiconque s'est un jour frotté à un Factorio ou même un Sim City. On ne fait qu'ajuster nos recettes et nos dépenses sans devoir, et ce à aucun moment, gérer de stock, de nourriture, de souvenirs (je passerais volontairement sur l'idée pitoyable d'un magasin ne puisse vendre qu'UN objet à la fois), ou encore de propreté.

Allons voir du coté du genre "parc d'attraction", là encore JWE fait moins bien que Theme Park pourtant sortie en 1994 et qui posera les bases du genre. Aucune gestion des visiteurs, impossible de vérifier leurs goûts, leurs désirs, leurs comportements et d'ajuster la construction du son parc en fonction. Ici on a droit à de simples "figurants" déambulant au sein d'un parc aseptisé. Parce que oui, il n'y a aucune possibilité de personnaliser son parc. Un choix de route famélique, toujours les mêmes 8 pauvres bâtiments de divertissements/shopping (et encore, ils ne servent à rien), un choix d'attraction au nombre de... 3... encore une fois WOOOW...

Bon. Est-ce que les dinosaures sauvent le jeu du naufrage ? Évidemment que non. Non content de proposer un nombre d’espèce minimaliste de 42, pour info le jeu mobile/tablette Jurassic World en proposer 73, on constate bien vite que les reptiles aquatiques et volants sont tout bonnement absent du jeu. Pas de Mosasaure (pourtant star des films), pas de volières (on ne pourra donc pas voir nos visiteurs s'enfuirent de panique en sauvant leurs mojitos). Il faudra se contenter de moins de 50 espèces dont une palanquée de clones ou sous-espèces se ressemblant quand même vachement.

Et puis, comme ce jeu semble bien tenir la comparaison [sic] avec d'autres lui ressemblant, à l'inverse d'un Zoo Tycoon, dans JWE on a droit qu'à un seul biome pour y mettre ses dinosaures car il est bien connu que ces derniers vivaient sûrement tous dans des jungles équatoriales. Contrairement à Zoo Tycoon la gestion de ses dinosaures se résume à une "jauge de confort" mais pas du tout à des caractéristiques spécifiques propres à chaque espèce, idem en ce qui concerne le régime alimentaire (c'est salade ou steak), pas d’enclos spécifique, pas de mise en scène spécifique, pas de beaucoup de ce qui caractèrise un jeu de gestion d'animaux en fait. Il sont bien ces dinosaures, aussi facile à garder heureux en captivité que des souris.

En bref, JWE c'est un jeu beau, avec une petite vignette indiquant bien qu'il est issue d'une grosse licence, et qui fait moins bien sur tous les plans que des jeux vieux de 15 ans. C’est un peu comme si on vous faisait un nouveau Civilization, Europa Universalis ou Theme Hospital, tout pareils mais juste mis à jour graphiquement. Et encore on passe sur de nombreux détails, semblant anondins mais qui faisaient pourtant le sel de JPOG, comme regarder par les attractions, placer des toilettes (ah oui !) dans le parc ou encore voir les gens sortir leur parapluie "Jurassic Park" dès que la pluie arrivait etc... Tout ça a disparu...

Non, ne partez pas tout de suite !! Prenez donc un peu de pommade, les DLC payant rajoutant tout ce qui manque arriveront bientôt pour enfin en faire un jeu digne de 2015.


Mise à jour :
Après 30h de jeu, voilà que déroulent les crédits de fin. Oui, des crédits, dans un jeu de gestion. Il n'y a que moi que ça choque ?! Le jeu est fini à 100%, tout est débloqué, 5 étoiles sur chaque île, sans se presser. 30h et je ne sais déjà plus quoi faire, ou plutôt, il n'y a plus rien à faire !

En ce moment je suis paisiblement entrain de faire un parc sur le Sandbox, enfin, sur ce qui ressemble à un Sandbox... Disons le tout de suite, la place disponible sur cette île est TRÈS limitée, tout y est identique au reste du jeu excepté l'argent illimité. C'est un peu léger pour un Sandbox mais bon...

Une fois mon "parc de rêve" (sic.) réalisé, il ne me restera donc réellement plus rien à faire. Je ne vois pas en quoi recommencer les autres îles serait intéressant ou donnant du défi. Non, le jeu sera simplement "fini" ce qui est honteux pour son prix et les genres auxquels il s'identifie.

Il ne restera plus qu'à ésperer que Frontier étoffe un peu son contenu via mises à jours ou DLC, si possibles gratuits, mais je n'y crois pas vraiment.
Posted 18 June, 2018. Last edited 27 June, 2018.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
32 people found this review helpful
3 people found this review funny
0.0 hrs on record
5€ a Civilisation... Really ? No way am i going to pay for this.
Posted 9 January, 2017.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
582 people found this review helpful
188 people found this review funny
29.1 hrs on record (17.9 hrs at review time)
Afin de ne pas faire perdre plus de temps à quiconque serait pressé de lire cette critique, à renfort de hurle-hauts, les mains près de la bouche, il est sans aucun doute que ce jeu est en tous points perfectibles mais non moins intéressant.

A ceux donc qui souhaitent en savoir davantage passés les lignes sus-rédigées tiennent compte de plusieurs facteurs importants afin de comprendre mon point de vue.

Lors de l'annonce de No Man's Sky, mon coeur de 42sien se gorgea d'émotion, d'attentes et d'angoisses pour un titre qui laissait envisager le rêve de tout bon fan de Science Fiction : l'exploration infinie d'un univers procédural. Mes yeux n'en croyaient pas ce qu'ils voyaient, mes oreilles ne voulaient entendre qu'encore plus cette symphonie qui semblait avoir été manuscrite à leur bon plaisir et uniquement à ces fins dans un édonisme qu'Asimov n'aurait pû mieux décrire.

C'est pourquoi, à ce moment, raison garder se fit plus gordien que jamais, mais n'en déplaise à la passion, il fallait que la raison reprenne ses droits. C'est pourquoi l'attente, aussi assidû fusse-t-elle se mua en un scrupuleux dépouillage d'informations. La tâche se devait d'être Herculéenne, et pour cause, il était évident qu'il ne fallait pas se bercer d'illusions ni y voir dans ce jeu ce qu'il ne serait pas.

A ce titre, et au contraire de nombres d'âmes qui s'y fourvoyèrent, je n'ais jamais pris No Man's Sky autrement que pour ce qu'il est : Un simulateur de ballade spatiale.

Oui, ce titre n'est rien de plus, rien de moins, impérativement il ne faut y chercher ni éxpérience multi-joueur, ni réalisme à la Elite ou mégalomanie à la Star Citizen. Le jeu n'est rien de ceux là, il est sa propre identité, et rien qu'à sa propre existence le studio Hello Games réalise ici un tour de force dans la sphère vidéoludique.

Comparable à Spore, il serait également cavalier de n'y apercevoir qu'une démo technique vendue au prix fort. Il n'en est rien; bien entendu le générateur procédural impressionne, à juste titre, il est raisonnable de penser que No Man's Sky saura faire office de "borne", de "valeur étalon" d'un nouveau genre de jeu qui clâme qu'il est dorénavant possible de simuler une aire de jeu qui ne sera jamais totalement dévoilée par les joueurs. A contrario d'un Spore, c'est plutôt à un Minecraft, dans l'esprit tout du moins, qu'il faudra l'y comparer.

Quant au jeu en lui même, le principe est aussi simple qu'il est alléchant : Vous êtes largué dans l'univers, avec nues-mains et huile de coude, livré à sa seule personne devant l'infini qui le contemple. Un enchevêtrement complexe de craft en tout genre viendra ponctuer votre aventure afin de ne pas laisser l'oisiveté gangrénner le rythme du jeu; qui bien qu'un poil vexant au départ - étant donnée la liliputie - de votre inventaire, n'en sera que plus divertissant et gratifiant à mesure des nouvelles technologies acquises.

Vous serez donc amené à améliorer votre combinaison personnelle, votre vaisseau ainsi que votre "appareil multi-outil" sorte de couteau-suisse de l'espace qui à l'image d'un phaseur pourra tout aussi bien servir à récolter des ressources qu'à corriger les importuns et autres intriguants... Ceux-ci ne seront pas légions, mais demeureront présents sous formes de sentinelles qui veillent à la quiétude de la galaxie, tantôt garant de la vie d'une planête, tantôt agresseurs impitoyables sanctuarisant des lieux que l'on devine très vite riches en ressources en tout genre. Bien entendu il existe des PNJ, et ceux-là croiseront souvent votre route, à vous d'en faire des alliés ou des enemis, à votre guise. Pillez tel un pirate, proteger, conserver sa neutralité, le choix vous appartient, mais si par hasard l'âme d'un pacifiste fédérateur sommeil en vous alors il vous sera nescéssaire de comprendre le langage des autres races afin de communiquer avec eux.

Le jeu se retrouve donc truffé de petites énigmes, "quêtes" annexes qui vous donnent le choix : explorer, combattre, comprendre, commercer. Libre à vous de jouer au naturaliste et d'aller répertorier toutes les créatures arppentant telle Lune, sonder les fonds marins de la Planète autour de laquelle elle gravite ou bien aller faire voeu de solitude sur un astre mort.
Nul besoin de vous dire que le titre se pare de multiples petites bizareries et secrets à découvrir...


Alors, certes la répétitivité dépendra uniquement de votre tolérance à la romance au sens aventurier du terme, car il serait de mauvaise foi d'arguer de la perfection de No Man's Sky. Ce jeu est très loin d'être parfait, mais possède un potentiel perceptible et ouvert sur une myriade de concepts, à l'instar d'un Stellaris, qui bien que sensationnel, saurait être amélioré de moultes fonctionnalités.

Les développeurs travaillent déjà sur le concept de Base-Building qui sera intégré au titre dans les mois qui viennent, agrémentant d'un aspect sédentaire et durable votre expérience, faisant de votre planête, ce grain de sable qui vous est cher.

Pour ma part et afin d'étayer mes propos, voici une brève liste des aspects du jeu que j'éspère voir évoluer dans le futur, qui mériteraient d'êtres approfondis ou tout simplement ajoutés; intrinséquement cela détaillera ce qui ne me semble pas encore au point :

- Une plus grande richesse de biomes par planète avec des conditions climatiques adaptées.
- La mise en place d'une chaîne alimentaire basique mais cohérente.
- Possibilité de Base-Building ( construire des bases ).
- Possibilité de Ship-Building ( construire des vaisseaux ).
- Ajout de vaisseaux capitaux pilotables.
- Système de faction/guerre/territoires.
- Du vrai Multi soyons fous
- Une vue du vaisseau à la 3e personne ( bon pour pinailler ).

Compte tenu de la façon dont le jeu est codé, ces fonctionnalités ne relèvent en rien de l'impossible, gageons donc que le studio sache écouter sa communauté pour ses débuts dans le monde du triple A.

En espérant avoir pu servir à mes lecteurs de balise dans cet océan d'avis et de critiques, vous souhaitant bien entendu un très bon jeu et vous remerciant de m'avoir lu jusqu'au bout.

Cordialement,

Le Roy des Bananes.
Posted 12 August, 2016. Last edited 16 August, 2016.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
4 people found this review helpful
53.2 hrs on record (14.1 hrs at review time)
Pour un jeu que j'attendais de pied ferme de la part de Turtle Rock Studios, éminents développeurs de la série des Left 4 Dead sur lesquels des myriades d'heures furent passés à découper du Zombie à coup de 5.56, force est de constater que le plaisir est au rendez-vous.

Evolve propose un gameplay asymétrique pour le moins original, en nous gratifiant cette fois de deux camps bien distincts que ce soit en apparence comme en nombre. En effet on obtient ici un savant mélange de FPS et de TPS pour un 4 contre 1 qui s'avère prenant. Les chasseurs, tous différents dans leur manière de jouer et la possibilité de les combiner permet la composition d'équipes très hétéroclytes, et donc à la façon d'appréhender le jeu de manière nouvelle. A 12 chasseurs à la sortie du jeu (d'autres s'ajouteront pas la suite) les possibilités sont déjà énormes, de plus, fait étonnant, les dit-chasseurs sont à mon sens parfaitement équilibrés (ce qui ne due pas être une mince affaire) et aucun ne semble vraiment au dessus des autres en termes d'éfficacité, tout dépend du choix de ses coéquipiers et du monstre affronté. Car là ou un Hyde et son lance flamme sera efficace contre le goliath, se déplaçant au sol... Il en sera bien moins confortable face au Kraken voltigeant dans les airs.

Les cartes sont variées, jolies, le jeu est beau dans l'ensemble et le travail sur la faune et la flore permet une immersion tout à fait convenable dans le monde de Shear. Les différents modes de jeu offre un challenge interressant et viennent briser toute monotonie.

Alors autant les DLC ne sont pas ma tasse de thé, autant ici la polémique autour de ces derniers me paraît tout bonnement éxagérée. La majorité des DLC existants à la sortie du jeu ne sont que purement cosmétiques, des skins bien inutiles que l'on peut aisément se dispenser d'achter. Le season pass propose de s'approprier les futurs chasseurs et on ne sait encore rien sur le coût des nouveaux monstres. Cela fait-il d'Evolve un mauvais jeu ? Non. Cela en fait-il un jeu incomplet ? Non plus. Comme cité précédement, le jeu offre déjà une excellente expérience en termes de gameplay et de composition des équipes pour des parties toujours très diversifées. Selon les compétences des joueurs un round peut passer très vite, comme il peut s'installer 40 minutes durant.

Il est important, à mon sens, de donner une chance aux développeurs et de juger le jeu pour ce qu'il propose : à savoir jouer. La critique de la politique commerciale de Take Two ne devant en rien primer sur la qualité à proprement dite du titre, sous peine de le voir purement et simplement mourrir sous les quolibets de ceux qui sans même l'avoir testé ne feront que vomir leur haine.
Posted 14 February, 2015.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
2 people found this review helpful
42.5 hrs on record (21.7 hrs at review time)
Mis à part le foutage de gueule concernant les Factions en DLC, c'est que du bon.
Posted 26 November, 2013.
Was this review helpful? Yes No Funny Award
Showing 1-8 of 8 entries