Инсталирайте Steam
вход
|
език
Опростен китайски (简体中文)
Традиционен китайски (繁體中文)
Японски (日本語)
Корейски (한국어)
Тайландски (ไทย)
Чешки (Čeština)
Датски (Dansk)
Немски (Deutsch)
Английски (English)
Испански — Испания (Español — España)
Испански — Латинска Америка (Español — Latinoamérica)
Гръцки (Ελληνικά)
Френски (Français)
Италиански (Italiano)
Индонезийски (Bahasa Indonesia)
Унгарски (Magyar)
Холандски (Nederlands)
Норвежки (Norsk)
Полски (Polski)
Португалски (Português)
Бразилски португалски (Português — Brasil)
Румънски (Română)
Руски (Русский)
Финландски (Suomi)
Шведски (Svenska)
Турски (Türkçe)
Виетнамски (Tiếng Việt)
Украински (Українська)
Докладване на проблем с превода
Le regard timide, les mains toutes abîmées
Il taillait la pierre, fils d'ouvier
Il en était fier, mais pourquoi vous riez?
Non, ne le jugez pas
Vous qui ne connaissez pas
Les vertiges et le labeur
Vous êtes faussement heureux, vous troquez vos valeurs
Lui, il est tout mon monde et bien plus que ça
Seule, je crie son nom quand vient le désarroi
Et puis tout s'effondre quand il n'est plus là
J'aimerais tellement lui dire mais je n'ose pas
Lui qui me fait
Tourner dans le vide, vide
Tourner dans le vide, vide
Tourner dans le vide, il me fait tourner
Dans le vide, vide, vide
Tourner, tourner dans le vide
Tourner dans le vide, il me fait tourner
Tourner dans le vide
Tourner dans le vide
Tourner dans le vide
Tourner dans le vide
Tourner dans le vide
Tourner dans le vide
Tourner dans le vide