Recent reviews by Pélinal

Braid est un jeu de plateforme/puzzle. Vous incarnez Tim, un personnage qui est en quête de la Princesse, et vous allez traverser 6 mondes afin de la retrouver. Le côté plateforme du jeu n'est pas vraiment là où vous devrez chercher l'intérêt, cette composante étant plutôt simple bien que nécessaire pour progresser. C'est réellement du côté réflexion que se trouve toute la difficulté du jeu : vous devrez résoudre des énigmes afin d'obtenir des pièces de puzzle pour les assembler. Ce n'est qu'en ramassant toutes les pièces et en recomposant les puzzles que vous pourrez accéder au dernier monde et connaître le dénouement de l'histoire. Cette dernière, assez mystérieuse, cryptique et libre d'interprétation, vous est narrée à travers des livres que vous pourrez trouver au début de chaque monde. Libre à vous de les lire ou pas.

La mécanique principale du jeu est le temps : vous disposez du pouvoir de revenir dans le temps aussi loin que vous le souhaitez. Cela vous permet de ne jamais mourir et de pouvoir recommencer à volonté chaque portion du niveau sur laquelle vous avez des difficultés. À noter que chaque monde comprend une mécanique spécifique sur le temps : un système de lecture/rembobinage en fonction de vos déplacements dans l'un, un double de vous qui répète vos actions après que vous soyez revenu dans le temps dans un autre... Vous n'êtes pas obligé de récupérer toutes les pièces de puzzle pour passer au prochain monde, vous pouvez traverser les niveaux pour atteindre les suivants et essayer de nouvelles énigmes à volonté. Néanmoins, vous devrez recomposer tous les puzzles pour finir le jeu.

Braid possède une identité graphique et artistique très marquée, très proche d'une peinture, presque poétique. Des musiques agréables et douces vous accompagneront au cours de votre aventure. Celle-ci sera relativement courte, tout dépendra de votre facilité à récupérer toutes les pièces de puzzle en résolvant les énigmes, certaines étant particulièrement retors. Un système de défis speedrun vous sera également proposé, dont l'un consiste à terminer le jeu en moins de 45 minutes. Enfin, des étoiles secrètes à récupérer seront disséminées dans différents niveaux et constitueront un véritable challenge si vous cherchez à les obtenir.

En définitive, Braid est un jeu très agréable et original à parcourir.

Elden Ring est l'évolution de la franchise Dark Souls. Plongé cette fois-ci dans l'Entre-Terre, un gigantesque monde ouvert, le joueur doit rassembler les Runes majeures composant le Cercle d'Elden. Le point de départ est donc là : vous êtes un Sans-éclat et votre but est de recomposer le Cercle d'Elden, brisé après un événement qui donnera une guerre entre les demi-dieux, nommé l'Éclatement. On vous informera rapidement que les différentes Runes majeures sont aux mains de ces demi-dieux que vous allez devoir passer par le fil de l'épée afin de les récupérer. Comme toujours dans ces jeux, la narration est cryptique, il faut aller chercher soi-même les informations en lisant la description des objets afin de recomposer l'histoire du jeu et d'en apprendre plus sur les personnages et événements.

Le monde ouvert vous permet d'aller réellement où vous voulez (une barrière scénaristique vous empêchera néanmoins d'avancer trop loin sans certains prérequis) avec votre fidèle monture, Torrent, que vous obtiendrez tôt dans l'aventure, et heureusement, car tout faire à pied serait pénible. Bien évidemment, une certaine progression voulue par les développeurs devrait se révéler assez naturelle pour le joueur, afin qu'il évite de se rendre dans une zone bien trop difficile au début du jeu (bien qu'une certaine surprise de ce côté-là ne manquera pas de prendre au dépourvu le curieux explorateur). Le jeu ne vous prendra pas par la main, vous êtes libre d'aller où vous voulez pour explorer et combattre ce que vous trouverez, en gardant votre objectif en tête : retrouver les Runes majeures. La difficulté sera bien au rendez-vous, certaines zones et boss étant réellement très coriaces.

Le gameplay reste celui d'un Dark Souls, les roulades pour esquiver, les attaques normales, puissantes, chargées et sautées, ces dernières étant rendues bien plus simples par l'ajout d'un vrai saut qui permettra de combattre plus efficacement ainsi que de faciliter l'exploration du monde. On retrouve la fameuse "powerstance" héritée de Dark Souls 2, permettant de manier 2 armes du même type afin d'accéder à des attaques utilisant les 2 armes en même temps. Des tonnes de possibilités de gameplay sont donc présentes, comme d'habitude : épée, lance, hallebarde, arc, rapière, bouclier, magie... On trouve également des invocations optionnelles via des cendres que vous pourrez utiliser pour certains combats, notamment les boss qui peuvent se révéler très difficiles pour certains (en particulier un certain boss caché).

La direction artistique est toujours au rendez-vous. Vous allez traverser plusieurs régions ayant chacune leur ambiance. Les prairies à première vue paisibles de Nécrolimbe, le lac embrumé de Liurnia ou encore la vision apocalyptique de Caelid pour n'en citer que quelques uns. Des cathédrales gigantesques aux des châteaux en ruines en passant par l'immense capitale et ses égouts sordides jusqu'aux cimes enneigés, vous allez en voir du pays. Le jeu est beau et invite à l'exploration. De nombreux boss parcourent le monde et vous serez libres de les affronter, à condition de les trouver car certains ne se montrent que sous certaines conditions (comme la nuit). Les musiques, quant à elles, accompagneront les combats de boss qui se révéleront épiques pour les plus importants.

Concernant les donjons, vous en trouverez de deux types : les principaux (aussi appelés Donjons Legacy) et les secondaires plus génériques. Les premiers sont dignes des Dark Souls, grands, tortueux, avec des raccourcis et des secrets en pagaille, et bien évidemment leurs boss qui devront être vaincus pour avancer dans l'histoire. Les seconds sont des grottes, catacombes et autres tombeaux, souvent assez courts et se ressemblant, vous permettant de trouver quelques objets divers, de gagner un peu de runes (l'expérience et la monnaie du jeu, similaire aux âmes des Dark Souls) et, à la fin, d'affronter évidemment un boss. Ces donjons-là font quand même office de recyclage quelque peu générique dont on risque de se lasser assez vite, même en cas de volonté de tout compléter.

Le système multijoueur est toujours de la partie : vous pouvez invoquer des joueurs alliés pour vous seconder dans les situations délicates, ainsi qu'envahir d'autres joueurs pour les éliminer. Notez que, tant que vous jouez solo, vous ne pouvez pas vous faire envahir sauf si vous utilisez un objet spécialement prévu à cet effet.

Le contenu du jeu est donc massif, bien que répétitif pour les donjons secondaires (qui restent totalement optionnels), et des zones entières également optionnelles ne se révéleront qu'aux explorateurs qui pourront encore passer des heures à les arpenter. Avec des possibilités quasi infinies de styles de jeu différents, un riche contenu, une superbe direction artistique sublimant un monde que l'on prend plaisir à explorer dans ses moindres recoins, Elden Ring est le digne successeur de la lignée des Dark Souls et semble être l'évolution finale de la franchise.

Dead Cells est un mélange entre un metroidvania et un roguelite. Dans la peau d'un prisonnier décapité possédé par une sorte d'étrange forme gélatineuse, vous arpenterez les différents niveaux d'une île en affrontant divers ennemis et boss. Les zones sont générées aléatoirement et vous trouverez diverses armes et pouvoirs au cours de votre aventure, que ce soit en battant les monstres, en les achetant dans des boutiques ou encore en les trouvant sur des autels et autres passages secrets. Vous obtiendrez également des schémas d'armes, de pouvoirs ou encore de tenues au cours de votre exploration. À la fin de chaque niveau, vous pourrez apporter ces schémas à un personnage. Puis, en échange d'orbes que vous trouverez tout au long du jeu, ce personnage débloquera ces schémas afin d'augmenter votre arsenal, vous permettant alors d'acquérir l'objet en question au cours de vos prochaines parties. À l'intérieur des niveaux, vous pourrez débloquer des chemins menant à de nouvelles zone. C'est ici que la partie metroidvania opère : vous obtiendrez plusieurs runes au cours du jeu qui vous octroieront l'accès à de nouveaux lieux grâce à de nouvelles compétences : faire pousser des vignes, détruire des sols ou encore faire des sauts muraux. Toute cette nouvelle panoplie de mouvements vous permettra donc de prendre des chemins alternatifs afin de progresser. Le côté roguelite fait que vous allez souvent mourir et recommencer, mais les runes acquises le restent, ainsi que les schémas débloqués. Enfin, un système de mutations vous permettra d'acquérir au choix des bonus suivant votre style de jeu : augmentation des dégâts après avoir vaincu un ennemi, saignements sur chaque attaque ou encore augmentation de votre vie maximale.

Le nombre d'armes et de pouvoirs est conséquent, vous pourrez porter 2 armes et 2 pouvoirs afin de varier votre style de jeu. Le personnage répond très bien aux commandes, tout s’enchaîne de manière fluide. La roulade vous permettant d'esquiver les attaques est de la partie, et le jeu dispose d'un pixel art du plus bel effet. La durée de vie est conséquente, avec les différents niveaux à visiter et le système de difficulté. Ce dernier est un gros intérêt du jeu : après l'avoir terminé, vous débloquerez un niveau de difficulté supérieur, et après avoir fini ce niveau supérieur, vous en débloquerez un nouveau, et ainsi de suite. Si les premiers niveaux de difficulté rendent le jeu effectivement un peu plus complexe, le tout dernier niveau rendra l'expérience vraiment délicate et oppressante, chaque erreur pouvant vous coûter la vie et vous forçant alors à tout recommencer.

Enfin, le jeu dispose de plusieurs DLC avec de nouvelles zones, monstres, boss et équipements. Un mode personnalisé vous permettra de modifier tout un tas de paramètres durant votre partie : armes disponibles, choix de la difficulté, nombre d'or en votre possession au début, augmentation du nombre de mutations ou encore de la qualité des objets trouvés.
Le scénario du jeu est cryptique, et vous en apprendrez en fouillant les différentes salles spéciales disséminées dans les niveaux. Le contenu généreux, la durée de vie, la difficulté, le challenge et la jouabilité font donc de ce jeu un excellent titre !

Hero Siege est un jeu qui a énormément changé depuis sa sortie. À l'origine, il consistait simplement en des vagues d'ennemis que vous deviez vaincre afin de progresser jusqu'à un boss. Vous récoltiez des reliques vous octroyant divers avantages durant votre aventure. Parfois, un donjon bonus apparaissait afin de vous permettre d'obtenir ces fameuses reliques et de combattre des mini-boss. Ce faisant, vous engrangiez de l'expérience et de l'or pour rendre votre personnage plus fort. En cas de mort, il fallait globalement tout recommencer, avec notamment la perte des reliques.

Le jeu actuel a conservé certains de ces mécanismes. Vous choisissez d'abord la classe de votre personnage (de nombreuses autres sont disponibles en DLC) et vous voilà prêt à combattre ! Hero Siege se présente désormais sous la forme d'un hack'n'slash : vous visitez des niveaux générés aléatoirement, tuez des milliers de monstres, gagniez de l'expérience et de l'or, remplissez des quêtes, et, bien sûr, affrontez des boss à la fin de chaque acte. Les donjons bonus sont également de la partie, les reliques sont toujours présentes et la mort signifie toujours leur perte.

Désormais, chaque acte dispose de sa ville vous permettant de vendre votre équipement (et vous allez en récupérer beaucoup, BEAUCOUP), d'un hôtel des ventes pour acheter et vendre des objets avec les autres joueurs (et oui, le jeu dispose d'une composante multijoueur, vous pouvez jouer jusqu'à 4 ou en solo). Un système de fabrication d'objets via les minerais récoltés vous permettra de confectionner de l'équipement supplémentaire. Le jeu possède 4 modes de difficulté : une fois l'aventure terminée dans un mode, vous pouvez la recommencer dans la difficulté supérieure.

Le jeu révèle son intérêt une fois le niveau max atteint : vous pourrez combattre dans les "wormholes", des niveaux spéciaux où vous aurez un temps limité pour battre tous les ennemis suivis d'un boss. En cas de réussite, vous pourrez augmenter la difficulté des wormholes suivants. Bien évidemment, le farm est de la partie : l'équipement "satanic", soit le plus rare, demandera de longues heures (et de la chance) pour être obtenu.

Enfin, le jeu continue d'être mis à jour régulièrement avec un système de saisons. Un bon choix pour les amateurs de hack'n'slash.

Borderlands, premier jeu de la franchise FPS/RPG, et quel jeu ! Un univers détonnant qui vous plonge dans un monde impitoyable et sanguinaire, teinté d'un aspect western très réussi.

Vous choisissez un des 4 Chasseurs de l'Arche jouables (Roland le soldat, Lilith la Sirène, Mordecai le sniper et Brick, le...bourrin) et embarquez pour une longue aventure ! Commençant dans les territoires désertiques nommés Badlands, le jeu vous baladera dans des décors malheureusement répétitifs : du désert, encore et toujours du désert (avec une petite exception pour le finale).

La richesse du jeu vient de la multitude d'armes disponibles (des millions à en croire les développeurs !) qui sont générées aléatoirement selon les divers éléments les composant (chargeur, viseur...). Les personnages ont également leur capacité spéciale activable (Roland déploie une tourelle, Lilith se rend invisible, Mordecai envoie Sanguine, son oiseau, pour combattre, tandis que Brick devient furieux et cogne fort avec ses points).

Le principe est donc simple : vous prenez des missions, allez tuer un maximum de bandits ou autres créatures sauvages, gagnez de l'expérience pour monter de niveaux et améliorer vos compétences, trouvez des armes au passage dont la moitié finira revendue, et vous passez ensuite à la zone suivante.

A noter qu'une fois le jeu fini, il est possible de le recommencer en parcours 2 : les ennemis seront plus forts et le jeu sera donc adapté à des personnages de plus haut niveau. Une fois le parcours 2 fini, on débloque ce qui est communément appelé le parcours 2.5 : tous les ennemis, quêtes et butins sont adaptés à votre niveau, vous permettant une expérience de jeu toujours relevé.

On peut déplorer la redondance des décors et environnements (en partie corrigé par les DLC), ainsi que la difficulté parfois déséquilibrée : le jeu est relativement facile en parcours 1, mais certains ennemis en parcours 2 peuvent demander de longues minutes pour être vaincus (mention spéciale aux hyménoptères). La durée de vie reste néanmoins conséquente, surtout si vous aimez le farm ou recommencer le jeu avec les autres personnages.

Il est ici question de la version Enhanced, qui regroupe le jeu originel et ses 4 DLC en un seul produit. Elle amène des améliorations (on peut facilement régler le champ de vision) et propose une mini-map classique, bien plus pratique que la simple boussole du jeu de base.

A noter que l'achat de cette version comprend également le jeu originel.

Wargroove, un jeu que j'attendais depuis très longtemps. Fan d'Advance Wars ou de Fire Emblem, ce jeu est pour vous. Il s'agit ici d'un mix entre les 2 jeux cités : l'univers médiéval fantastique est emprunté à Fire Emblem tandis que les mécaniques sont plus clairement inspirés d'Advance Wars, avec des unités génériques à produire dans des bases (terrestres, maritimes et aériennes).

La présence d'un commandant, héros très puissant pouvant utiliser un Groove (compétence spécifique à chacun d'eux, comme un soin de zone ou l'invocation supplémentaire d'une unité) après avoir suffisamment combattu renforce également l'aspect stratégique : votre commandant peut aisément venir à bout de nombreux adversaires, mais sa mort signifie également la défaite. Sur ce point, on se rapproche du rôle des Lords dans Fire Emblem.

Le mode campagne est relativement long (surtout si vous désirez obtenir tous les rangs S), ajoutez à cela la présence d'un mode puzzle (réussir une carte en un seul tour), un mode arcade (5 adversaires à affronter à la suite avec un commandant choisi), un mode multijoueur, des bonus à débloquer et un éditeur de cartes puissant, et vous obtenez une excellente durée de vie, pour un jeu qui rend un bel hommage à ses aînés !

11ème épisode principal de la série Dragon Quest, et le premier à être porté sur PC ! Que dire de cet opus...un jeu graphiquement très réussi, le design de Toriyama toujours présent, des personnages haut en couleur, une histoire classique mais qui comporte sont lot de surprises et de rebondissements.

Vous êtes un jeune villageois apprenant qu'il est la réincarnation de l'Éclairé, un héros légendaire de l'ancien temps ayant vaincu le Mal. Vous partez alors en direction du royaume d'Héliodor pour vous entretenir avec son roi. Commence alors le début d'une longue, très longue quête qui vous mènera aux quatre coins du monde. Vous allez en voir du pays !

Le jeu conserve son style old-school ville, donjon, boss, avec un scénario découpé en petites histoires qui vous ferront découvrir toutes les facettes du monde. Le système de combat est lui aussi très classique, avec le tour par tour si cher à la série. On tue des monstres, on gagne de l'expérience, on monte de niveau et on apprend des sorts. A noter le système de compétences qui permet de faire évoluer les capacités de ses personnages via une grille.

Le jeu est long, très long, et propose même un événement inattendu à la moitié du parcours. Et, une fois n'est pas coutume, terminer le jeu vous permettra d'accéder à un contenu post-fin conséquent et boulversant totalement l'intrigue.
Enfin, à noter que cette version européenne permet d'accéder au mode draconien : des difficultés supplémentaires que l'on peut activer au début de la partie, comme l'impossibilité d'acheter des armures ou de fuir les combats, ainsi que rendrepar exemple les monstres plus forts, rapprochant la difficulté de cet épisode de celle du VIII avec cette dernière option.

Situé entre les mastodontes que sont FFIV et FFVI, ce cinquième épisode est souvent méconnu et oublié. Et pourtant ! Il s'agit là d'une aventure agréable, longue et mémorable. On y retrouve tous les éléments classique d'un FF : les héros de la lumière, les cristaux, un grand méchant, des musiques devenues cultes (mention spéciale pour Battle on the Big Bridge). C'est aussi l'épisode qui introduit Gilgamesh, un ennemi/allié dont les interventions teintées d'humour ne manqueront pas d'entrer dans la légende.

Le très gros point fort de FFV est son système de jobs, importé depuis le III, mais largement amélioré. On est désormais libre de changer son job sans craindre de devoir faire plusieurs combats avec des stats réduites, on peut créer des tonnes de combinaisons et c'est cette liberté dans la composition de son équipe qui fait la force de ce jeu. Pour le reste, c'est du classique, encore une fois, mais qui vaut le coup d'être essayé au moins une fois.

Enfin, cette version Steam inclue les bonus de l'édition GBA, avec un donjons bonus relativement long, 4 nouvelles classes, et bien sûr de nouveaux boss qui vous donneront du fil à retordre !

Très sympa ! Un bon jeu old-school comme on l'aime. Un principe simple : un vaisseau, des ennemis, des boss, des tirs de partout. A vous de les esquiver ! Ce manic shooter est vraiment agréable, à jouer, bien que ce jeu risque de vous faire rager très, très souvent ! En effet, en bon danmaku, vous devrez vous armer de patience et apprendre les patterns des ennemis -et surtout des boss- avant de réussir parfaitement les niveaux. Mention spéciale aux challenges dont certains mettront une fois de plus vos nerfs à rude épreuve !