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Ô noble Pop, fruit du clic incertain,
Tu t’ouvres en trois heures… ou jamais le matin.
Ton logo tremble comme un vieux fichier,
Et ton menu, ô gloire, ne veut jamais marcher.
Tu promets l’aventure, la guerre, la magie,
Mais je tombe dans un trou… infini.
Ton héros sans nom, ni visage, ni voix,
Court droit dans un mur. Et reste là.
Les dragons sont des cubes, les forêts sont des murs,
Ton ciel est violet, ton eau c’est du goudron pur.
Les PNJ me fixent avec des yeux sans fond —
Ou est-ce juste un JPEG collé à l’horizon ?
Mais j’avoue, ô Pop, que les retraités t’aime un peu.
Pas pour ton gameplay, ni ton monde fumeux,
Mais pour ce fou rire, ce grand moment d’absurde,
Quand ton cheval vole… et crie comme une dinde bourrue.
Ô noble Pop, fruit du clic incertain,
Tu t’ouvres en trois heures… ou jamais le matin.
Ton logo tremble comme un vieux fichier,
Et ton menu, ô gloire, ne veut jamais marcher.
Tu promets l’aventure, la guerre, la magie,
Mais je tombe dans un trou… infini.
Ton héros sans nom, ni visage, ni voix,
Court droit dans un mur. Et reste là.
Les dragons sont des cubes, les forêts sont des murs,
Ton ciel est violet, ton eau c’est du goudron pur.
Les PNJ me fixent avec des yeux sans fond —
Ou est-ce juste un JPEG collé à l’horizon ?
Mais j’avoue, ô Pop, que les retraités t’aime un peu.
Pas pour ton gameplay, ni ton monde fumeux,
Mais pour ce fou rire, ce grand moment d’absurde,
Quand ton cheval vole… et crie comme une dinde bourrue.
Alors, merci Pop, doux naufrage vidéoludique,
Tu n’es pas un jeu. Tu es… une expérience poétique.