À Tchikita, muse de Gamblegis
(Poème satirique)

Tchikita, douce étoile au ciel de l’écran,
Témoins de ton nom, des likes bienveillants,
Mais voilà qu’un drôle de barde surgit,
Gamblegis, verbe haut, cœur en transit.

Il parle en deux langues, avec grand fracas,
Un pied dans Rabat, l’autre à Montauban,
Il scande des rimes qu’on ne comprend pas,
Entre haine feutrée et vieux ressentiment.

Tchikita, toi la rose entre ses ronces,
Tu brilles malgré ses pensées qui froncent,
Tandis que lui, du haut de son mépris,
Écorche les mots, et les cœurs aussi.

Franco-marocain, mais l'esprit en douane,
Il trie les gens comme on trie les bananes.
Mais l’amour, la beauté, la liberté,
Ne se divisent pas, elles sont à partager.

Alors danse, Tchikita, libre et solaire,
Loin de ses cris qui polluent l’atmosphère.
Car ceux qui jugent sans se regarder,
Finissent souvent seuls à crier dans le vide.

sale babouin de con

À Tchikita, muse de Gamblegis
(Poème satirique)

Tchikita, douce étoile au ciel de l’écran,
Témoins de ton nom, des likes bienveillants,
Mais voilà qu’un drôle de barde surgit,
Gamblegis, verbe haut, cœur en transit.

Il parle en deux langues, avec grand fracas,
Un pied dans Rabat, l’autre à Montauban,
Il scande des rimes qu’on ne comprend pas,
Entre haine feutrée et vieux ressentiment.

Tchikita, toi la rose entre ses ronces,
Tu brilles malgré ses pensées qui froncent,
Tandis que lui, du haut de son mépris,
Écorche les mots, et les cœurs aussi.

Franco-marocain, mais l'esprit en douane,
Il trie les gens comme on trie les bananes.
Mais l’amour, la beauté, la liberté,
Ne se divisent pas, elles sont à partager.

Alors danse, Tchikita, libre et solaire,
Loin de ses cris qui polluent l’atmosphère.
Car ceux qui jugent sans se regarder,
Finissent souvent seuls à crier dans le vide.

Gros ♥♥♥ heure luxueux