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23.8 hrs on record (9.0 hrs at review time)
Dans l’ensemble Lucius a tout les stigmates d’un jeu à faible budget (graphisme bof mais si ils sont plutôt pas mal (surtout le jardin), scénario quasi-absent, environnement très restreint etc.) mais ce qu’il m’a le plus énervé ce sont toutes les petites imperfections d’interaction avec les objets, on ne sais jamais avec quoi on peut interagir sans avoir le nez collé sur les objets et d’avoir son curseur pile dessus, résultat on passe un temps fou à scanner a fond chaque pièce avec chaque pouvoir pour être sûr de ne rien avoir loupé.

Mais il n’y a pas que cela d’énervant dans Lucius, chercher 30 ans et faire des kilomètres dans la maison pour trouver un personnage ou une pièce est réellement usant à la longue. La carte est très mal faites et il faut deviner que ce veut dire les dessins représentés dessus, un vrai calvaire pour s’orienter. Le gore des meurtres est ridicule à cause d’une modélisation très pauvre.
Un autre gros point noir, l’incohérence de certaines situations ; lorsqu’on doit tuer le majordome par exemple, il se trouve à coté d’une réserve de bouteilles et nous demande de lui en trouver une de 1933, logiquement vous cherchez derrière lui dans cette réserve...

ERREUR ! Il faut aller à l’autre bout de la maison, à coté du garage, dans une cave où se trouve aussi une réserve de vin que l’on ne peut pas trouver sans fouiller toute la baraque de fond en comble, et encore, faut vraiment la voir cette unique bouteille utilisable ! C’EST N’IMPORTE QUOI !!!!
Le revers de tout ces défauts est une durée de vie excellente, des heures et des heures à chercher comme un pauvre hère que ce soit un perso, un objet ou tout simplement ce qu’il faut faire mais aidé aussi par une absence totale de checkpoint ou de sauvegarde pendant les chapitres, de quoi se mettre une balle (surtout dans le chapitre 10) car on doit tout recommencer à zéro en cas d’échec.
Posted 8 August, 2016.
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3.2 hrs on record
Ainsi, avec un cast qui atteint le joli nombre de 44 personnages jouables, Ultra Street Fighter IV offre un nombre de match-ups rarement vu jusqu'à présent, si l'on met à part les jeux d'équipe ou les cross-overs festifs, d'autant que les vieux de la vieille ont eu droit à quelques retouches au passage.

Cette nouvelle révision est également l'occasion d'ajuster l'ensemble des combattants. Mais à l'inverse du chapitre Arcade Edition, les changements sont globalement positifs, visant à donner aux persos considérés comme faibles plus d'options pour briller. Par ailleurs les nouveautés apportées au système de jeu jouent aussi leur rôle à ce niveau.

Le Red Focus, au prix de deux jauges EX, permet d'absorber non pas une, mais plusieurs attaques ; il devient alors possible de contrer des techniques à coups multiples telles que les "mille mains" de Honda mais aussi les Super et Ultra Combo qui ne dispose pas de la propriété Armor Break. Quant à la relevée décalée, ou Delayed Wake-up, elle permet à un joueur mis au sol de brouiller le timing de son adversaire, évitant ainsi d'être cueilli par une attaque une fois relevé. Enfin, grâce à l'option Ultra Double, on peut désormais débuter un match avec la possibilité d'utiliser librement l'une ou l'autre des deux furies au lieu d'en choisir une seule.

Certes, certains choix portent à croire que Capcom a lancé Ultra Street dans la précipitation, comme l'interface à peine modifiée ou quelques choix de gameplay, la baisse des dégâts de l'Ultra Double annule un peu beaucoup son efficacité...

Il n'empêche que, à force de sondages et de location tests, l'éditeur ne semble jamais avoir été autant à l'écoute. De plus, atteindre l'équilibre avec un roster aussi généreux était loin d'être gagné d'avance et le résultat est vraiment satisfaisant. Au final, ceux qui commençaient à se lasser de la formule peuvent éventuellement trouver ici l'étincelle qui pourrait les relancer pour un bon moment. Ceux qui, au contraire, sont étranger au genre mais cherchent à se mettre au jeu de combat peuvent trouver ici un titre au système qui demeure toujours aussi fun et accessible, et offrant une grande marge de progression.
Posted 16 July, 2016.
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113.4 hrs on record (100.2 hrs at review time)
Cinq années, c'est le temps qu'il a fallu à Rockstar pour peaufiner son bébé, pour arriver à puiser l'essence de la série et offrir l'épisode le plus abouti et l'un des jeux vidéo les plus addictifs de ces dernières années.

GTA V, c'est d'abord Los Santos, une ville si vivante, si riche, si dense qu'elle vous happe dès les premiers instants pour ne plus vous laisser partir.

GTA V plus que jamais, c'est un jeu qui permet de vivre l'expérience à sa façon selon notre humeur du moment, il ne sera pas rare de s'arrêter dans une avenue commerciale très peuplée et de contempler le boulot gigantesque effectué en regardant les gens vivre leurs vies sans ralentissement de manière naturelle et fluide. Moi de mon côté je ne compte plus les nombreuses balades en voiture, sans but particulier, le soleil couchant, du Queen dans les oreille laissant le capot de ma voiture ouvert pour profiter de la fraicheur naissante sublimer par des jeux de lumières et une profondeur de champ monumentale.

GTA V, c'est aussi l'innovation qui pour la première fois nous impose un trio en lieu et place d'un personnage principal auquel on s'attache. S'il pourrait s'avérer casse gueule, il en devient une des forces de ce dernier opus, diablement bien écrit et construit à la perfection de manière cohérente et soignée.

La possibilité de changer à tout moment accentue l'immersion qui donne l'impression que nos personnages vivent en temps réel et permet de varier les points de vues lorsque on est amené à regrouper ce petit monde dans des missions spectaculaires.
GTA V, ce sont également des braquages au centre du récit, millimétré dans la préparation, d'une intensité rare une fois les démarches en place, ils vous permettront de varier les plaisirs, de recruter une équipe et de changer l'angle d'attaque pour une dose maximale d'adrénaline durant un bon quart d'heure.

GTA V ce sont tous ses loisirs dans lequel pas un seul n'est laissé au hasard, louer un vélo pour remonter la berge de bon matin et croiser des joggeurs matinaux, faire un match de tennis avec votre épouse infidèle, pratiquer le golf ou encore aller au cinéma pour voir un court métrage représentant un Wall-E Gay Burtonien tout est possible et même plus encore.

En fait GTA V, ça ne s'écrit pas, ça se vit, Los Santos vous attend les amis avec tous ses plaisirs et vices pour vous entrainer dans une épopée contemporaine inoubliable qui risque de vous marcher un bon moment, si les milliers d'articles de tests, de critiques et de vidéos qui pullulent sur internet ne vous ont pas convaincu, peut être que cette modeste critique finira de vous convaincre.
Posted 16 July, 2016.
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524.5 hrs on record (204.9 hrs at review time)
Qu'obtenez vous, si vous ajoutez un Burnout et un FIFA ?

Un mélange particulièrement étrange et pourtant...

En effet le principe de Rocket League est simple : un véritable match de foot , mais au volant de bolides , futuristes et pleins de couleurs.
Le jeu dispose de plusieurs modes comme un 1v1, 2v2, 3v3 et 4v4, ainsi qu'un mode " écran scindé ".
Vos matchs se joueront dans des arènes aléatoires, aux lignes, elles aussi, futuristes. Le terrain, sorte de boîte en verre géante, permettra au ballon ( qui au passage fait la taille de votre voiture ) de ne pas s'échapper de celui-ci.
Un gameplay très divertissant, et très amusant surtout avec ses amis ou sa famille puisque la prise en main est très rapide. Il y a également un système de "Boost" qui vous permettra de réaliser des frappes à plus de 100km/h !
Dans ce jeu, un système de classement online, similaire à celui de League Of Légends est présent pour pouvoir se mesurer aux autres joueurs de niveaux similaires.

Une version PC très bien optimisée, et régulièrement mise à jour. La présence des lignes futuristes et de la multitude de teintes est du plus bel effet. Rocket League ne vous demanderez pas énormément de ressources graphique, c'est pourquoi un GPU milieux de gamme vous suffira. En somme, que demander de plus ?!
Posted 16 July, 2016.
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306.0 hrs on record (159.1 hrs at review time)
Hitman est ni plus ni moins le meilleur épisode de la série.

Et ça tombe bien puisque ce même épisode contient neuf chapitres, soit pour vous neuf occasions de participer au meilleur jeu d'assassinats disponible à l'heure actuelle.

On ne peut plus malin (définissez vous même les règles et vos méthodes d'approche), délicieusement généreux (des dizaines et des dizaines d'heures de missions dans des environnements très ouverts), visuellement impressionnant (une ambiance souvent magique), les aventures de l'agent 47 se vivent et revivent avec un vrai enthousiasme.

L'infiltration est portée ici à son plus haut niveau et les sensations qu'elle vous procure sont grisantes.

Petit bémol sur l'intrigue, toujours aussi absconse mais, rassurez-vous, voila qui ne gâchera en rien votre plaisir.
Posted 16 July, 2016. Last edited 28 March, 2017.
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8.3 hrs on record
Le joueur émerge dans un long tunnel au bout duquel se trouve une porte. Sur cette porte, son premier puzzle, le premier d'une longue série.

Il arrive dans un jardin étonnamment paisible niché bien à l'abri dans un château en ruines dont les remparts surplombent la mer. Un verre vide et un coussin sur le toit sont les traces d'autres humains qui ont vécu ici, bu, se sont cultivés, mais ce qui attire vraiment l'attention du joueur, c'est leur oeuvre maîtresse : cette île, superbe et paisible, lieu de raffinement, petit îlot dans ma bibliothèque Steam. Je ne suis pas sur une île, je suis dans un jeu, et son concepteur est Jonathan Blow. Ce qui change tout, bien entendu.
The Witness a été l'objet d'une très longue gestation - sept ans - et d'un budget relativement élevé pour un jeu présenté comme indépendant - six millions de dollars, c'est-à-dire la totalité des gains engrangés par Braid. Le marketing a été discret pour une sortie de cette envergure, jusqu'à cette fameuse critique publiée sur IGN qui balance tout de go le 10/10, génial, formidable, n'en jetez plus. Les gamers d'abord circonspects sont conquis, le jeu ne s'arrache pas mais se vend très bien, les précommandes affluent... puis les retours utilisateurs commencent à tomber, et là c'est le drame. "Boring". "No music". "Same puzzles again and again". Le fatidique "overhyped" est lancé.

Soyons honnêtes et admettons que The Witness n'est pas un jeu tout public. Le propos mortellement sérieux, l'absence de charme au-delà du remarquable travail visuel, les puzzles, encore et encore et encore perdront 80% des joueurs au bout d'une heure ou deux. Tout comme "La Princesse dont Sarko a parlé" ou un obscur film hongrois de neuf heures, The Witness n'est pas séduisant et ne cherche pas à l'être. Amateurs de soirées tranquilles avec vos amis, joueurs occasionnels de remue-méninges ou plus simplement gens normaux n'aimant pas vous enfermer des heures pour vous escrimer sur des centaines de variations de ça, vous pouvez partir, personne ne vous en voudra.

Pour ceux qui sont prêts à plonger, en revanche, vous êtes partis pour les quelques 24 heures les plus intéressantes de votre vie de joueur.

Je regarde le mur derrière mon ordinateur et je n'y vois aucun symbole, rien. Il a été construit pour me protéger du froid et m'isoler. Je tire les rideaux et je regarde le ciel, bleu, vide.

Je regarde les murs construits par Blow et j'y vois quelque chose. Ils ont été construits pour une raison précise que je ne peux pas encore distinguer, mais que je commence à comprendre. Ces arbres, ces nuages, ce soleil. Ils existent pour moi, ils existent à cause de moi, le joueur. Sans moi, ce monde n'a pas de raison d'exister, et il y a derrière l'ordinateur un Dieu appelé Blow qui l'a créé afin que je résolve des puzzles. C'est un changement de paradigme qu'il faut admettre et dont il faut rester conscient : Rien n'est là par hasard. Chaque brin d'herbe est un morceau d'un immense puzzle dont les pièces mises ensemble forment un tout gigantesque que je ne peux saisir que fragment par fragment. Une fois ce principe assimilé, le jeu devient légèrement vertigineux, et appelle même des références religieuses et philosophiques pour enfoncer le clou, parfois un peu lourdement. Mais c'est une forme d'art que seul le jeu vidéo pouvait élaborer.

En termes plus terre-à-terre, la difficulté est là, et ceux qui s'inquiétaient du prix en auront pour leur argent. J'ai "fini" le jeu en 22 heures, et je doute avoir vu la moitié du contenu total. The Witness est le plus fantastique tutoriel qu'il m'ait été donné de voir depuis Portal, et là-dessus la com' n'avait pas menti : The Witness, c'est 700 itérations du même principe mais 700 itérations à chaque fois différentes. Le world design est fabuleux et déborde de détails maniaques qui participent chacun au désir du jeu de créer l'épiphanie (du grec phaínō, "se manifester, apparaître, être évident"), ce moment où le lien logique se fait (eurêka !), et la réflexion qui l'accompagne.

L'architecture de l'ensemble a été assurée par de véritables architectes, qui font de l'île un espace de pure réflexion libéré de toute distraction, où tout ramène le joueur à sa mission première.
The Witness ouvre un nouveau genre dans le jeu vidéo aux côtés du jeu indé et du jeu artsy. C'est un jeu d'intellectuel, qui brasse des références savantes et refuse beaucoup des principes qui régissent le jeu vidéo de nos jours. Ainsi que l'a fait remarquer une vidéo très critique que j'ai vue avant d'écrire cette critique, le jeu n'est pas 'fun'. Blow a toujours été franc à ce sujet : pour lui, le jeu vidéo ne doit pas être mesuré à l'amusement qu'il procure, mais aux émotions qu'il fait naître. Le jeu n'offre pas non plus d'objectif au joueur, en cohérence avec sa philosophie de la liberté totale du joueur, et ne récompense donc pas la découverte autrement qu'en offrant d'autres choses à découvrir. Plusieurs excellentes critiques parmi lesquelles celle-ci le font remarquer : The Witness se moque de la notion de récompense. Avant de commencer, posez-vous la question : suis-je prêt à jouer pour le seul plaisir de découvrir et d'apprendre ? Suis-je prêt à jouer en sachant que

à la fin de ma partie je serai renvoyé au tout début du jeu sans que rien, ni achievement, ni message, ni sauvegarde, ni changement dans l'île ne m'indique que j'ai réussi à terminer le jeu ?

Si vous êtes prêts à tout cela, alors foncez. The Witness, même s'il le présente de façon peu séduisante, offre un trésor de réflexion et de beauté à qui acceptera de s'en saisir. J'aime bien, pour ma part, cette approche à rebrousse-poil pour ce qu'elle a d'iconoclaste.
Posted 31 January, 2016. Last edited 16 July, 2016.
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17.6 hrs on record
Une suite remarquable dans la droite lignée de ses aînés. Tout en tâtonnant, parfois maladroitement, Frogwares s'en est toutefois sorti avec les honneurs grâce à un solide système de jeu et un scénario, bancal mais néanmoins fort prenant. Peaufinant certains aspects, optant pour un doublage inédit tout en intégrant quelques idées nouvelles ici et là, cet opus ne fera peut-être pas l'unanimité parmi les fans même meme si je le conseillera fortement aux détectives en herbe d'autant que son ambiance, sombre, pesante, qui plus est davantage liée à Sherlock, mérite plus que jamais le coup d'oeil.
Posted 27 August, 2014.
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10.4 hrs on record
Castlestorm est un jeu au concept simple mais efficace : terrasser son adversaire à grand renfort de projectiles dévastateurs et d’unités toujours plus puissantes.

On ne va pas se mentir, on prend un véritable plaisir à faire voler en éclat les murs du château adverse et à le regarder s’écrouler. On se réjouit également de voir les capacités de son opposant diminuer peu à peu. Malheureusement, certains éléments viennent entacher le tableau... [...]
Posted 10 August, 2014. Last edited 16 July, 2016.
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16.7 hrs on record (15.3 hrs at review time)
Revolution est un grand mot, mais rien n'empêche ce Worms de faire efficacement ce qu'il doit faire.

Le truc assez marquant, c'est qu'on a un narrateur plutôt fun qui raconte tout et n'importe quoi tout le temps, ça donne bien l'ambiance et on s'amusera à l'écouter. Le reste de l'emballage est plutôt classique, des missions qui se jouent comme des deathmatchs, un mode énigme, un peu de customisation et voilà.
(D'ailleurs les voix des Worms sont toujours aussi terribles).

Niveau gameplay, le moteur 3D est vachement bien foutu, on prend plaisir à regarder les Worms se faire dézinguer mais ce qui est encore mieux c'est le moteur physique et l'ajout de l'eau, c'est amusant et ça change pas mal de choses niveau stratégies. Y'a aussi l'ajout de classes, c'est sympa encore une fois, dommage que ce ne soit pas très poussé.

Après on a un bon nombre d'armes, toutes aussi barrées les une des autres.

Worms Revolution utilise la même recette qu'en 1996, ce qui implique qu'il est ultra-fun si on y joues à plusieurs. On aurait peut-être espéré une vraie révolution mais il est bien fait et on ne lui en veut pas.

Voilà, j'sais pas trop quoi dire en fait, vu qu'il ne révolutionne pas grand chose et est finalement assez similaire aux autres épisodes de la série.
Posted 28 July, 2014. Last edited 16 July, 2016.
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19.0 hrs on record
Tout d'abord, une palette graphique du plus bel effet, un effet "fausse 2D" très bien rendu avec un environnement bien vivant derrière, vraiment bien. Et cette "3ème dimension artistique" a vraiment une utilité dans quelques animations, et ça rend globalement bien. Toujours pour les graphismes, on pourra constater que 4 environnements ça fait un peu juste mais étant donné qu'ils sont assez fourni, ça va encore pour le prix.

La customisation des worms est aussi plutôt complète, même si je trouve qu'on manque un peu de pack de voix. Les thèmes musicaux ne sont pas mémorables mais collent bien à l'environnement, de même les bruitages sont toujours aussi drôle.

De plus, je n'ai pas du tout été convaincu par les nouvelles composition de team avec une équipe de 4 worms avec chacun ses spécificités
Posted 28 July, 2014. Last edited 16 July, 2016.
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