Il n'est pas rare que l'acheteur donne quatre fois
ce que vaut l'article. Il y a des centaines d'estropiés à Chicago qui gagnent leur vie en vendant des crayons ou des chaussures. Beaucoup d'entre eux sont à la maison
moins d'hommes. Crayons achetés pour trente-cinq cents une douzaine de détail pour une pièce de dix cents, ou tout ce que l'acheteur se soucie de lui-même.

 Un permis de colporteur est une protection contre la police et sert d'accessoire moral au mendiant.

Un colporteur de chaussures et de crayons mesure habituellement son succès par le nombre de ventes effectuées dans lesquelles aucun changement n'est demandé. Il s'attend à être
trop payé. Parfois, il se persuade qu'il a le droit d'être payé en trop. L'activité de «se débrouiller» par «toucher les coeurs» est généralement
"travail." Un colporteur qui travaille au North Side dira:

«Je n'ai pas travaillé hier, la veille, mais si tu lis encore que tu es malade, j'ai fait trois dollars et quatre-vingt-cinq cents. Cet homme se considère comme un véritable estropié, car il a une ataxie locomotrice. Il est furieux quand il rencontre un colporteur à un bras, parce qu'un homme avec un bras n'est pas un vrai estropié. Les vrais estropiés devraient avoir la première considération. Un homme valide qui supplie quand
 
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