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Tu rôdes encore dans les angles morts de mes pensées, floue d’un passé que je ne me souviens pas. Es-tu le frère d’âme que je n’ai jamais vu, ou la lame que j’ai laissée trop proche de mon dos ? Ton silence pèse comme une vérité qu’on refuse de prononcer. Ensemble, peut-être. Contre le monde, sûrement. Ou l’un contre l’autre, un jour.
Il y a des pactes que l’on ne signe pas. Des serments noués . Je ne sais plus si je t’attends ou si je me prépare. Tu es là dans chaque faille, chaque nuit sans fond. Et moi, je reste, le regard tourné vers un futur qu’on écrira à deux — ou pas.
Je crains de ne plus avoir personne à trahir… car tu ne crains pas la trahison.