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Le contenu de ce DLC n'est pas indispensable (bien que j'apprécie l'artbook et la bande-son), mais je voulais donner un peu plus de sous à ce studio pour les remercier de leur travail sur Baldur's Gate 3.

C'est la première fois que je trouve un jeu trop court après avoir passé 282h dessus.

Et j'y reviendrai, c'est sûr !

Les énigmes sont aussi prenantes que dans le premier mais le concept est un peu plus développé et nous fait voyager entre différentes salles à thème.

Un hack'n slash que je conseille aux fans des Diablo (du moins des Diablo 1, 2 et 3, je n'ai pas encore touché au 4)... et à ceux qui apprécient les hack'n slash en général.

N'ayant pas suivi son actualité je ne m'attendais à rien en le prenant, et pour l'heure ce jeu me plait beaucoup. Joli visuellement, il a une histoire qui se laisse suivre sans avoir à forcer. Il est agréable à prendre en main et propose pas mal de fonctionnalités intéressantes propres au genre. Cinq classes ayant chacune trois sous-classes, plusieurs arbres de compétences et d'améliorations, un système de runes à appliquer à l'équipement... etc etc.

Malgré une traduction française qui laisse parfois à désirer (mention spéciale à certains passages non traduits ou à certains dialogues dont le sens se perd un peu) le tout reste compréhensible et la plupart des explications sont assez claires (et plutôt fournies).

Note (Pour le moment où j'écris tout ça) : les développeurs n'ayant pas prévu que leur jeu rencontre le succès qu'il a connu à sa sortie, il y a eu quelques soucis au niveau des serveurs. Ce sont des choses qui arrivent, et les soucis en questions devraient normalement être réglés au fur et à mesure... laissez un peu de temps aux dev'.
En attendant un mode hors-ligne est proposé, fonctionnel, et permet de découvrir l'aventure en solo.

Un jeu à forte tendance écologiste, dans lequel vous devrez défendre l'écosystème du monde dans lequel vous venez de débarquer contre les monstres qui menacent son équilibre. Ici on ne chasse pas pour le plaisir, et si j'ai bien dû tuer au moins une trentaine de bestioles de chaque espèce pour compléter des sets d'armes et d'armures, je n'oublie pas que c'est avant tout par amour de la nature.

Mon épisode favori avec Tri Ultimate.

Si vous n'y avez jamais joué vous avez peut-être déjà entendu parler de la série des "Postal" et de sa réputation. Si ce n'est pas le cas on pourrait la résumer en deux mots : violence gratuite.
Résumé de ce premier épisode : vous incarnez un monsieur qui sort de chez lui et se met à tirer sur tout ce qui bouge, civils sans défense compris.

Il s'agit d'un shooter en vue isométrique ou de dessus selon les cartes, pas très long (quelques modes de jeux, du solo et du multi, des niveaux sélectionnables à l'envie une fois terminés). Et d'un assez bon défouloir que j'ai trouvé agréable à jouer malgré son âge.

Il en existe deux version ; celle-ci, version de base aujourd'hui gratuite, et la version "Redux" à laquelle je n'ai pas touché. Je vous recommande donc de laisser cette dernière de côté le temps de vous essayer d'abord à la version de base.

Petit avertissement :
Je ne le savais pas en me mettant à ce jeu, mais il s'agit du second opus d'une trilogie appelée "Devil came through here" qui commence par l'épisode nommé "Downfall"... je l'aurais su, j'aurais commencé par ce dernier.
Toutefois "The cat lady" reste appréciable et largement compréhensible même sans ça.

On suit ici Susan, femme atteinte de dépression, qui commence par se présenter en faisant la lecture de sa lettre d'adieu. Juste avant de se suicider, entourée de ses chats. Elle se retrouvera dans un monde étrange, dans lequel un mystérieux personnage lui proposera une mission : qu'elle l'accomplisse et elle pourra enfin vivre une vie heureuse.

Une introduction bien sombre pour un jeu qui abordera souvent les thème de la dépression, du suicide et autres joyeusetés... pour au final ne pas être si déprimant que ça. Mais trop en dire serait spoiler et ce serait vraiment très dommage.

Il s'agit d'un point and click plutôt classique (pas trop compliqué même s'il m'est arrivé d'être bloqué une ou deux fois), quelques énigmes à résoudre, beaucoup de conversations avec quelques choix à faire. Ca reste quand même un jeu linéaire (ce qui n'est ici pas une mauvaise chose).

L'histoire tout comme les dialogues sont prenants, on a envie de voir où sa mission mènera Susan et s'il lui reste vraiment la possibilité de vivre une vie meilleure. Les doublages sont plutôt bons (avec quelques petits bugs ici et là qui n'entravent ni la compréhension ni la progression) et on s'attache beaucoup à certains personnages. Reste que l'aventure peut être psychologiquement éprouvante : vu les sujets et certaines scènes, de mon point de vue on est bien sur un jeu horrifique.

La direction artistique est particulière : on a l'impression que les personnages sont des acteurs pris en photo qui se déplacent dans des décors peints à la main (J'ai aimé). Et la bande-son est terrible, avec de temps en temps des morceaux bien rock (ce qui m'a agréablement surpris, je ne m'y attendais pas du tout).

Je ne peux que vous suggérer cette petite pépite. Elle fait souvent mouche, j'ai personnellement été très touché par plusieurs passages et je pense que je serai certainement tenté d'y rejouer un jour malgré sa linéarité.
Et n'ayez pas peur des thèmes abordés, à moins bien sûr de vous savoir trop sensibles à ces derniers : je me répète mais ce jeu n'est pas si déprimant, je crois que ce n'est de toute façon pas son but. Il apporte bien souvent de petites lueurs d'espoir et est même assez drôle par moment.

Bref, foncez.

L'histoire se déroule dans le petit village de Rynoka et dans les donjons qui l'entourent. Vous incarnez Will, jeune marchand et explorateur aventureux.
Vous passerez de l'exploration de donjons à la gestion de votre boutique, dans laquelle vous vendrez aux habitants de Rynoka le butin trouvé lors de vos sorties.

Les phases de gestion sont plutôt basiques, amusantes et sans prise de tête. Il s'agira d'organiser un peu votre boutique, de fixer les prix et de tenir la caisse en gardant un oeil sur d'éventuels filous venus voler vos produits.
Les donjons sont générés aléatoirement et le système de combat est assez simple, efficace. Ne vous attendez pas à une énorme difficulté - mais à un minimum de challenge quand même. Vous devrez de temps en temps faire un choix entre celui de continuer votre exploration ou de revenir au village pour y mettre vos trésors en sécurité.

La durée de vie n'est pas énorme, elle dépendra entre autres de la facilité avec laquelle vous avancerez dans les différents donjons.
L'histoire est vraiment sans prétention, elle suffit à l'immersion.
Graphiquement ce titre est charmant, avec un pixel art chatoyant. Une très jolie bande-son également.

Si une expérience de jeu un peu courte ne vous rebute pas, je vous le recommande chaudement.

Pas d'avis constructif, juste ceci :

Ce jeu je l'aime tellement, si le suivant ne me plaît pas autant, tant pis :
je pourrai toujours rejouer à celui-ci.
Et encore. Et encore.
Je l'aime.

L'un des meilleurs survival horror auxquels j'ai joué, seul ou en multi le plaisir est toujours présent.
De l'exploration, de l'organisation, du craft, des zombies et des frissons.
S'il peut sembler un peu difficile, le jeu dispose d'un mode bac à sable dans lequel la difficulté peut être adaptée en fonction de chacun (en prenant un grand nombre de paramètres en compte).
Bien qu'il soit toujours en early access, Project Zomboïd est déjà généreux en contenu (et c'est sans parler des ajouts de la communauté) et parfaitement jouable, alors n'hésitez pas.