ARK: Survival Evolved, c’est un peu comme une coloc avec des dinosaures : au début, tu galères à te faire un petit coin tranquille, et à peine t’as posé ton feu de camp qu’un T-Rex débarque pour te faire comprendre que t’es rien du tout. Mais c’est ça qu’on aime, non ?

Le jeu est une masterclass en termes de liberté. T’as envie d’apprivoiser un raptor pour flex devant les autres ? Vas-y. Construire une forteresse imprenable au sommet d’une montagne ? C’est ton problème. Voler à dos de ptérodactyle et observer les petits joueurs galérer dans la boue ? Pure satisfaction. Les possibilités sont infinies et c’est clairement ce qui fait la force d’ARK.

Le solo est là pour ceux qui veulent éviter les dramas en ligne et juste kiffer leur survie tranquille, mais si t’es chaud pour l’aventure, y a des serveurs bien gérés qui offrent une vraie expérience multi. Alors oui, ARK, c’est pas un jeu qui va te prendre par la main en te murmurant des mots doux. C’est un monde où tu souffres, tu perds tout, et tu recommences... mais bizarrement, t’y retournes toujours.

Si t’as un minimum de patience et une légère tendance masochiste, ARK est une expérience à vivre. Si par contre t’aimes que la vie soit simple et paisible, va jouer à Animal Crossing.