Austerlitz
Culmination of the campaign of 1805 in Germany, the Battle of Austerlitz (Moldova, between Brünn and Olmütz) takes place by a cold winter day, December 2 this year. It brings together three nations under the command of three emperors: the French Napoleon I, Russian Tsar Alexander 1 "and the Austrian Francis.

Since October 20, Napoleon and his Grand Army are the pursuing Russians. In vain Krems then Hollabrünn the Emperor tried to dismiss the south and cut the lines of communication with Russia. Now proceed further would be dangerous as the French advance, they are forced to leave behind detachments to control the areas they will have to cross to return; their numbers are diminished, while the enemy forces, led by Kutuzov, continue to grow instead. In addition, the risk is great to see the Prussians intervene in the conflict.

Napoleon's ruse

November 21, arrived near Brno, Emperor thus gives his troops the order to stop. His concern is to persuade the enemy, who, so far, dodged the battle of engaging it.

For this, he must convince the Russians that they have a serious chance of winning.

To this end, Napoleon's tactic is to deceive the enemy about the reality of his forces. Before Kutuzov, it aligns some fifty thousand men, who ostensibly preparing for retirement. In reality, he is preparing several fronts to battle and warned Bernadotte, located in Brno with 1 "body, Davoust, which is in Vienna with the 3` body to be ready to join the field of battle.

The Emperor and relies on a force of about 75,000 men, the arrival of Davout will switch to a hundred thousand. Believing he can finish with the Grand Army of the Austro-Russian forces (85,000 men and about 16,000 riders) take the initiative to attack.

An enemy under surveillance

Between 27 November and 1 "December the Allies from the east, that is to say, Olmutz, approach the French positions and undertake to circumvent by first north, they head to the river Goldbach, they intend to take to outflank the French and take the rear. Aware of these movements, which take place in the open, Napoleon let them.

To reassure his men, who can not ignore the manceuvres of the enemy, on the night of 1 "to 2 December he travels bivouacs, warning the soldiers of his plan.

The December 2 marks the first anniversary of the imperial coronation, Napoleon's men acclaim and light torches to illuminate his steps. The Emperor holds very closely informed of the progress of the enemy advance
.
Noting that the lines of the enemy were overly stretched and they have a weakness in their center, he decided to attack in this sector. The Battle On December 2, at 7 am, in the fog, 3 Allied columns launching their first offensive against the French. As the bulk of the Austro-Russian forces concentrated in low areas of the battlefield, Napoleon gave the order to simply meet the attacks of the enemy in the valley, and respond essentially by taking the plate which dominates. 30 between 8 am and 11 pm, the St. Hilaire and Vandamme divisions (Army center) under the command of General Soult, climb the slopes of the Pratzen Heights and make tea masters: and they start cutting the rest his army left wing of the Austro-Russians. Further north, the infantry of Lannes and Murat's cavalry (the left wing of the French army), face the right wing of the enemy: the 13 000 men of Bagration and Liechtenstein jumpers. The most critical battle is between these two sectors, between which, in the east, near the village of Austerlitz, the Russian Imperial Guard provides a final link between the different elements of the allied army.

He contrasts the Russian Horse Guards led by the Grand Duke Constantine riders of the French Imperial Guard: grenadiers, or "black horses", led by General Ordener, a second line of grenadiers and hunters, and finally Mamluk cavalry led by Napoleon's own aide, Rapp. The furious charge of the French is ultimately successful

the mixed results in the dispersion of the Russians, so that the first center of the opposing army to Napoleon is definitely pierced. Following the battle comes down to the pursuit of the two sections now disunited enemy forces. In the north, Bagration managed to remove quickly and orderly without being chased by the French. In the south, the divisions of Soult, supported by a part of the guard, forcing the Russians to flow back into the area of ​​the pond Satschan whose frozen surface is broken in several places. For AustroRusses who believed take an easy victory, the disaster is beyond remedy: two days later, an armistice was concluded.
https://www.youtube.com/watch?v=Y5Dna1XqiAI

Austerlitz
Point culminant de la campagne de 1805 en Allemagne, la bataille d’Austerlitz (en Moldavie, entre Brünn et Olmütz) se déroule par un jour d’hiver glacé, le 2 décembre de cette année. Elle réunit les forces de trois nations sous le com­mandement de trois empereurs : le Français Napoléon Ier, le tsar russe Alexandre 1" et l’Autrichien François Ier.

Depuis le 20 octobre, Napoléon et sa Grande Armée sont lancés à la poursuite des Russes. En vain, à Krems puis à Hollabrünn, l’Empereur a tenté de les rejeter vers le sud et de couper les lignes de communication avec la Russie. Désor­mais, poursuivre plus loin serait dangereux à mesure que les Français progressent, ils sont obligés de laisser en arrière des détachements pour contrôler les régions qu’ils devront traver­ser au retour ; leurs effectifs s’en trouvent dimi­nués, tandis que les forces de l’ennemi, menées par Koutouzof, ne cessent au contraire de gros­sir. En outre, le risque est grand de voir les Prus­siens intervenir dans le conflit.

La ruse de Napoléon

Le 21 novembre, arrivé près de Brünn, l’Empe­reur donne donc à ses troupes l’ordre de s’arrê­ter. Son souci est de persuader l’ennemi, qui, jusqu’à présent, a esquivé la bataille, de lui livrer combat.

Pour cela, il doit convaincre les Russes qu’ils ont une chance sérieuse de remporter la victoire.

Dans ce but, la tactique de Napoléon consiste à tromper l’ennemi sur la réalité de ses forces. Devant Koutouzof, il n’aligne qu’une cin­quantaine de milliers d’hommes, qui préparent ostensiblement leur retraite. En réalité, il prépare plusieurs fronts pour la bataille et avertit Bema­dotte, qui se trouve à Brünn avec le 1" corps, et Davout, qui est à Vienne avec le 3` corps, de se tenir prêts à rejoindre le lieu du combat.

L’Em­pereur compte ainsi sur une force d’environ 75 000 hommes, que l’arrivée de Davout fera passer à une centaine de milliers. Croyant pou­voir en finir avec la Grande Armée, les forces austro-russes (85 000 hommes environ et 16 000 cavaliers) prennent l’initiative de l’attaque.

Un ennemi sous surveillance

Entre le 27 novembre et le 1" décembre, les Alliés, venant de l’est, c’est-à-dire d’Olmütz, se rapprochent des positions françaises et entre­prennent de les contourner par 1e nord ; ils se dirigent vers la rivière Goldbach, qu’ils enten­dent franchir pour déborder les Français et les prendre à revers. Averti de ces mouvements, qui ont lieu à découvert, Napoléon laisse faire.

Pour rassurer ses hommes, qui ne peuvent igno­rer les manceuvres de l’ennemi, dans la nuit du 1" au 2 décembre il parcourt les bivouacs, aver­tissant les soldats de son plan.

La date du 2 décembre marque le premier anniversaire du couronnement impérial : les hommes de Napoléon l’acclament et allument des torches pour éclairer ses pas. L’Empereur se tient très étroi­tement informé des progrès de l’avancée enne­mie
.
Constatant que les lignes de l’adversaire se sont démesurément étirées et qu’elles pré­sentent une faiblesse en leur centre, il décide d’attaquer dans ce secteur. La bataille Le 2 décembre, vers 7 heures du matin, dans le brouillard, 3 colonnes alliées lancent leurs premières offensives contre les Français. Comme le gros des forces austro-russes est concentré dans les zones basses du champ de bataille, Napoléon donne l’ordre de simple­ment répondre aux attaques de l’ennemi dans la vallée, et de riposter pour l’essentiel en s’emparant du plateau qui la domine. Entre 8 h 30 et 11 heures, les divisions Saint-Hilaire et Vandamme (centre de l’armée) sous le com­mandement du général Soult, gravissent les pentes des hauteurs de Pratzen et se rendent maîtres du plateau : elles commencent ainsi à couper du reste de son armée l’aile gauche des Austro-Russes. Plus au nord, l’infanterie de Lannes et la cavalerie de Murat (l’aile gauche de l’armée française), se heurtent à l’aile droite de l’ennemi : les 13 000 hommes de Bagration et les cavaliers de Liechtenstein. Le combat le plus critique a lieu entre ces deux secteurs, entre lesquels, à l’Est, tout près du village d’Austerlitz, la garde impériale russe assure un dernier trait d’union entre les différents éléments de l’armée alliée.

Il oppose les chevaliers-gardes russes menés par le grand-duc Constantin aux cavaliers de la garde impériale française : les grenadiers, ou « chevaux noirs », entraînés par le général Ordener, une seconde ligne de grenadiers et de chasseurs, et, enfin, des cavaliers mame­louks menés par le propre aide de camp de Napoléon, Rapp. La charge furieuse des Fran­çais est finalement couronnée de succès

la mêlée aboutit à la dispersion des Russes, de telle sorte que 1e centre de l’armée opposée à Napoléon se trouve définitivement percé. La suite de la bataille se résume à la poursuite des deux tronçons désormais désunis des forces ennemies. Au nord, Bagration parvient à se retirer assez vite et en ordre sans être pris en chasse par les Français. Au sud, les divi­sions de Soult, soutenues par une partie de la garde, forcent les Russes à refluer dans la zone de l’étang de Satschan, dont la surface gelée se rompt en plusieurs endroits. Pour les Austro­Russes qui avaient cru tenir une victoire aisée, le désastre est sans remède : deux jours plus tard, un armistice est conclu.

Austerlitz
Höhepunkt der Kampagne von 1805 in Deutschland, die Schlacht bei Austerlitz (Moldawien, zwischen Brünn und Olmütz) erfolgt von einem kalten Wintertag, 2 Dezember dieses Jahres. Es vereint drei Nationen unter dem Kommando von drei Kaiser: die Französisch Napoleon I., der russische Zar Alexander 1 "und die österreichische Francis.

Seit 20. Oktober Napoleon und seine Grand Army sind die Russen verfolgt. Vergeblich Krems dann Hollabrunn der Kaiser versuchte, den Süden zu schließen und schneiden die Linien der Kommunikation mit Russland. Gehen Sie nun weiter wäre gefährlich wie die Französisch Voraus zu sein, sind sie gezwungen, hinter Abteilungen, um die Bereiche zu steuern lassen, müssen sie überqueren, zurückzukehren; ihre Zahl verringert, während die feindlichen Kräfte, durch Kutusow geführt, anstatt zu wachsen. Darüber hinaus besteht die Gefahr, toll zu sehen, die Preußen in den Konflikt einzugreifen.

Napoleons List

21. November kamen in der Nähe von Brno, bietet Kaiser damit seinen Truppen den Befehl, zu stoppen. Sein Anliegen ist es, den Feind, der, so weit, wich die Schlacht von Eingriffs sie zu überzeugen.

Dazu muss er die Russen überzeugen, dass sie eine ernsthafte Chance haben zu gewinnen.

Zu diesem Zweck ist Napoleons Taktik, den Gegner über die Realität seiner Kräfte zu täuschen. Vor Kutusow, richtet es einige fünfzigtausend Mann, der angeblich Vorbereitung auf den Ruhestand. In Wirklichkeit bereitet er mehreren Fronten zu kämpfen und warnte Bernadotte, in Brünn mit 1 "Körper, Davoust, die in Wien ist mit dem 3 'Körper bereit, das Schlachtfeld zu verbinden sein.

Der Kaiser und stützt sich auf eine Kraft von etwa 75.000 Menschen, so wird die Ankunft von Davout auf eine hunderttausend wechseln. Glauben, er mit dem Großen Armee der österreichisch-russischen Truppen beenden können (85.000 Männer und 16.000 Fahrer) die Initiative ergreifen, um anzugreifen.

Ein Feind unter Beobachtung

Zwischen dem 27. November und 1. "December die Alliierten aus dem Osten, das heißt, Olmütz, nähern sich den Positionen Französisch und verpflichten sich, zuerst nach Norden zu umgehen, gehen sie zum Fluss Goldbach, wollen sie zu ergreifen, um überflügeln die Französisch und nehmen Sie die Rückseite. Im Bewusstsein dieser Bewegungen, die im Freien stattfinden, Napoleon ließ sie.

Um seine Männer, die nicht ignorieren können die manceuvres des Feindes, in der Nacht des 1 "bis zum 2. Dezember reist er Biwaks, die Warnung der Soldaten von seinem Plan zu beruhigen.

Die 2. Dezember markiert den ersten Jahrestag der Kaiserkrönung Napoleons Männer Beifall und Licht Fackeln, seine Schritte zu beleuchten. Der Kaiser hält sehr genau über die Fortschritte des Feindes voraus informiert
.
Feststellend, dass die Linien des Feindes wurden übermäßig gestreckt und sie haben eine Schwäche in ihrer Mitte zu haben, entschied er sich, in diesem Sektor anzugreifen. Die Schlacht am 2. Dezember, um 07.00 Uhr, im Nebel, 3 Allied Spalten starten ihre erste Offensive gegen die Französisch. Da der größte Teil der österreichisch-russischen Kräfte in tief liegenden Bereichen des Schlachtfeldes konzentriert, gab Napoleon den Befehl, einfach erfüllen die Angriffe des Feindes in das Tal, und im Wesentlichen zu reagieren, indem man die Platte die dominiert. 30 08.00 Uhr bis 11.00 Uhr, die St. Hilaire und Vandamme Divisionen (Armee Mitte) unter dem Kommando von General Soult, klettern die Hänge der Pratzen Heights und machen Teemeister: und sie beginnen Schneiden der Rest seine Armee linken Flügel der österreichisch-Russen. Weiter im Norden, die Infanterie der Lannes und Murat Kavallerie (der linke Flügel der Armee Französisch), stehen vor der rechte Flügel des Feindes: die 13 000 Mann von Bagration und Liechtenstein Jumper. Der wichtigste Kampf zwischen diesen beiden Bereichen, zwischen denen im Osten, nahe dem Dorf Austerlitz bietet die russischen kaiserlichen Garde eine endgültige Verbindung zwischen den verschiedenen Elementen der alliierten Armee.

Er stellt die russischen Horse Guards von den Großfürsten Konstantin Fahrer der Französisch kaiserlichen Garde führte: Grenadiere oder "Rappen", von General Ordener, eine zweite Linie der Grenadiere und Jäger, und schließlich führte Mamluk Kavallerie Napoleons eigenen Berater, Rapp geführt. Der wütende Anklage des Französisch ist letztlich erfolgreich

die gemischte Ergebnisse in der Dispersion der Russen, so dass das erste Zentrum der gegnerischen Armee Napoleon ist auf jeden Fall durchbohrt. Nach der Schlacht kommt es auf die Verfolgung der beiden Abschnitte jetzt uneinig feindlichen Kräfte. Im Norden geschafft Bagration, schnell und ordentlich zu entfernen, ohne von der Französisch gejagt. Im Süden die Abteilungen von Soult, von einem Teil der Schutzvorrichtung unterstützt wird, zwingt die Russen, um wieder in den Bereich des Teiches Satschan deren gefrorenen Oberfläche an mehreren Stellen gebrochen fließen. Für AustroRusses, die nehmen einen leichten Sieg geglaubt, ist die Katastrophe nicht mehr zu retten: zwei Tage später, ein Waffenstillstand geschlossen wurde.

Napoléon Ier et la peninsule Ibérique (1 page /2)
(1808-1814)

I/L'Espagne avant la campagne d'Espagne
1) L'Espagne et le monde

En 1800 l'Espagne fait partie des nations qui commence à « vieillir » car le début de ses conquêtes remontent en 1492 avec la découverte de l'Amérique de Christophe Colomb qui était au service de la courrone espagnol. C'est a partir de la Nouvelle-Espagne que provienne la quasi totalité de ses richesses. A partir de la mort de Charles Quint l'Espagne commence a perdre beaucoup de territoire surtout en Europe ou elle perd l'actuel Belgique et les territoires du sud de l'Italie.
En 1800 la voilà reduit à retourner dans sa peninsule, mais Napoléon est arrivé au pouvoir en France suite à son coup d'Etat et l'Espagne a besoin d'un allié pour vaincre l'Angleterre sans cesse en guerre contre elle, mais aussi avec un autre but (mais celui-ci plutot caché) celui de regner avec la France sur l'Europe. Quant au Portugal ,allié de l'Angleterre et donc hostile à l'Espagne, serait une proie facile pour séduire la France et avoir une paix durable.

2) La Guerre d'«Orange»

La guerre des Oranges est une guerre qui opposa le Royaume d'Espagne au Royaume du Portugal, cette guerre est appellé ainsi car le premier ministre Manuel de Godoy qui dirigea les opérations militaires ramaça des oranges sous les murs d'Elvas pour les offrir à la Reinne d'espagne en signe de sa victoire contre le Portugal.
Cette guerre eclata lors de l'entrer des troupes espagnols sur le territoire portugais le 20 mai 1801, cette guerre sera de courte durée car elle sera terminée le 6 juin 1801 lors du traité de Badajoz.
A la base cette guerre fut causé par Napoléon Bonaparte car le commerce Anglo-Portugais était toujours en vigueur alors qu'un blocus continental était organisé par le 1er Consule, et demanda donc à l'Espagne une alliance contre l'Angleterre, et sa 1ere cible serait bien évidament le Portugal. Ils imposérent donc un ultimatum au Portugal avec comme conditions de paix :

L'abandon de la vieille alliance avec l'Angleterre ainsi que la fermeture de ses ports aux navires anglais et leur ouverture à la France et à l'Espagne

La cession de territoires correspondants à un quart de la population métropolitaine comme garantie de dévolution ou de cession des îles espagnoles aux mains anglaises ( Trinidad, Minorque, Malte )

Le paiement de réparations de guerre à la France et à l'Espagne

La révision des frontières avec l'Espagne.

Et n'accepta pas pour ne pas énerver l'Angleterre, mais ce qui conduira à la guerre . Le Portugal a déployé une armée de 2 000 cavaliers et 16 000 fantassins alors que l'Espagne a déployé 30 000 soldats et auraient du recevoir des renforts français avec une force de 15 000 hommes.

Certe le Portugal a perdu la guerre mais sa colonie auras gagner un tier des territoires espagnoles au Brésil. Cela a été une guerre horrible pour le Portugal car elle a dû fermer ses ports à l'Angleterre , payer une indemnité de guerre et donner Olivenza à l'Espagne
II/L'Espagne et la France en 1808 (page 2/2)
1)L'Espagne avant 1808

L'Espagne avant 1808 était la puissante alliée de Napoléon Ier , elle a toujours combattu contre le Royaume-Uni , son alliée héréditaire depuis maintenant quasiment quatre siécles. Sa flotte naval était l'une des plus puissantes du monde , mais cette flotte sera détruite au cour de la bataille de Trafalgar en octobre 1805 , d'ailleur cette bataille sera une preuve de domination des mers par l'Angleterre , ce qui sera l'inverse quelque mois plus tard sur la terre avec la bataille d'Austerlitz le 2 décembre 1805 , la France gouverne la terre et l'Angleterre les mers.

2)La péninsule de 1808 à 1814

En 1808, Le Portugal n'accepte en aucun cas le blocus continental que Napoléon Ier essaie de lui faire imposer et elle ouvre même ses portes à des régiments britanniques venu en aide à son plus ancien allié, c'est pour cela que suite au traité de fontainebleau L'Espagne laisse passer une armée commandée par Junot jusqu'en Espagne mais Napoléon decida d'envoyer aussi Murat et c'est à cette instant que Napoléon fut faire la plus grande bétise de sa vie , celui de s'entreméler des affaires espagnoles .
Le Roi d'Espagne Charles IV est renversé par son fils Ferdinand , devenu Ferdinand VII , et ces deux hommes de la couronne espagnole demanda l'arbritrage de Napoléon Ier . Il se rendit tout les 3 à Bayonne (proche de la frontière espagnole ) pour leur conférence de Bayonne entre avril et mai 1808 et c'est au même moment , le fameux 3 mai 1808, que Madrid se souléve contre l'armée française stationnée des ce moment dans la capitale car le peuple espagnol cru que la famille royal était détenu par les français et c'est alors que Napoléon decida de mettre son frére Joseph Bonaparte ,qui était alors Roi de Naple , sur le trône espagnol , Naple sera dirigé par son beau-frére : Joachim Murat. Le 3 mai 1808 marque le début d'un combat acharnée non pas contre l'armée espagnol mais contre toute la peninsule Ibérique car repellons que l'armée française controlait toute la peninsule quand la population espagnole se souleva.

3)La Guerilla

La guerilla , aussi appellé « petite guerre », est un adjectif qui qualifie la guerre qui frappa la peninsule en 1808 , et même avant cette date, le Portugal crééa des unitées de caçadores pour affaiblir l'armée française qui occupait tout le Portugal. Les soldats de cette petite guerre était des populations soulevées contre l'occupant ce qui pourrait correspondre à la resistance pendant la seconde guerre mondiale lors de l'occupation nazi du IIIe Reich, c'était des artisans, paysans , fermiers etc... pendant l'occupation française et beaucoup d'autre population d'Europe ont fait de même en suivant l'exemple péninsulaire.
Cette guerilla avait pour but d'affaiblir l'armée française car le moyen de la guerilla était assez limité et ne pouvait donc qu'affaiblir son belligerent , le plus souvent les hommes de la guerrilla tuait ou capturait pour torturer les français pour causer un impact moral sur l'armée occupante citons comme exemple les espagnols qui capturaient les français pour les égorger et couper leur partie génital et les mettaient dans leur bouche et puis accrochaient leur corps sur les granges , cette situation est survenue plusieur fois . Quand l'armée française passait devant ces granges elle était deja appeurée mais cela insita beaucoup à une haine contre les espagnols et c'est donc pour ça que les prisonnier espagnols étaits parmis ceux les plus maltraités des prisonniers de guerre , et citons cette fois-ci l'exemple de grenadier français qui lors d'une capture d'espagnol coupa l'oeil d'un espagnols et mis de la poudre a la place de cette dernière pour lui faire éclater litteralement la tête.
Et c'est pour cela que lors de la Bataille de Saragosse , de maison en maison espagnols et français se sont livrés un combat acharnés au prix de lourde perte des deux côtés avec des insultes , et des éxécutions sommaires pour se venger des deux camps.

Napoleon and the Iberian Peninsula (page 1/2)
                                                      (1808-1814)

I / Spain before the Spanish countryside
1) Spain and the world
 
    In 1800 Spain is one of the nations that begins to "age" since the beginning of his conquests back in 1492 with the discovery of Columbus America was in the service of the Spanish Antifriction. It's from New Spain comes as almost all of its riches. From the death of Charles V of Spain began to lose a lot of territory, especially in Europe or she loses the current Belgium and the territories of southern Italy.
     In 1800 this reduced to return to his peninsula, but Napoleon came to power in France following his coup and Spain needed an ally to defeat England in constant war against it, but also with another goal (but this rather hidden) than to reign with France on Europe. As Portugal ally of England and therefore hostile to Spain, would be an easy prey to seduce France and have a lasting peace.
     
2) The War of "Orange"
  
    War of the Oranges is a war between the Kingdom of Spain to the Kingdom of Portugal, this war is so called because the Prime Minister Manuel de Godoy, who led military operations Ramaća oranges under the walls of Elvas to offer the Reinne of Spain as a sign of his victory against Portugal.
    The war broke out when entering the Spanish troops in Portugal May 20, 1801, the war will be short because it will be completed June 6, 1801 when the Treaty of Badajoz.
   Basically this war was caused by Napoleon Bonaparte as the Anglo-Portuguese trade remained in effect while a continental blockade was organized by the 1st Consul, and therefore asked the Spanish alliance against England, and the first target would be évidament Portugal. So they imposed an ultimatum to Portugal with such conditions of peace:

The abandonment of the old alliance with England and the closure of its ports to British ships and their openness to France and Spain

The sale of territories corresponding to a quarter of the metropolitan population as devolution guarantee or disposal of Spanish islands to English hands (Trinidad, Menorca, Malta)

The payment of war reparations to France and Spain

The revision of borders with Spain.

    And did not accept to not upset England, but this will lead to war. Portugal has deployed an army of 2,000 horsemen and 16,000 foot soldiers, while Spain has deployed 30,000 soldiers and would receive the French reinforcements with a force of 15,000 men.

    Certe Portugal lost the war, but its colony'll earn tier of Spanish territories in Brazil. It was a terrible war for Portugal because it had to close its ports to England, to pay a war indemnity and give Olivenza to Spain
II / Spain and France in 1808 (Page 2/2)
       1) Spain before 1808

    Spain before 1808 was the powerful ally of Napoleon, she has always fought against the United Kingdom, his hereditary ally for the past almost four centuries. Its naval fleet was one of the most powerful in the world, but this fleet was destroyed at the heart of the Battle of Trafalgar in October 1805 btw this battle will be a proof of domination of the seas by England, which will be the Conversely some months later on earth with the Battle of Austerlitz December 2, 1805, France governs the earth and the seas England.

      2) Peninsula from 1808 to 1814
 
    In 1808, Portugal accepts in any case the continental blockade that Napoleon tries to impose her and she even opens its doors to British regiments came to the aid of his oldest ally, that is why following the Treaty fontainebleau Spain passes an army commanded by Junot to Spain but Napoleon decided to send as Murat and it was at this moment that Napoleon was make the biggest stupidity of his life, that of intermingle business Spanish.
    The Spanish King Charles IV was overthrown by his son Ferdinand, Ferdinand VII became, and the two men of the Spanish Crown asked the arbritrage Napoleon. He visited all three in Bayonne (near the Spanish border) to their conference Bayonne between April and May 1808 and is at the same time, the famous May 3, 1808, as Madrid rose against the French army stationed in this time in the capital as the Spanish people believed that the royal family was held by the French and it was then that Napoleon decided to put his brother Joseph Bonaparte, then king of Naples, on the Spanish throne, Naples will be led by his step-brother Joachim Murat. On May 3, 1808 marks the beginning of a fierce battle not against the Spanish army, but against the Iberian peninsula as repellons the French army controlled the whole peninsula when the Spanish population rose.

    3) Guerilla

    Guerilla, also called "little war" is an adjective that describes the war that hit the peninsula in 1808, and even before that date, Portugal CREEA of caçadores of UNITS to weaken the French army which occupied the whole of Portugal. The soldiers of this little war population was raised against the occupant which could match the resistance during the Second World War during the Nazi occupation of the Third Reich was artisans, peasants, farmers etc ... for the French occupation, and many other people in Europe did the same following the example peninsular.
    This guerilla was intended to weaken the French army as the average of the guerilla was quite limited and could not weaken his belligerent, usually the men of the guerrilla killed or captured to torture the French to cause an impact Moral of the occupying army cite as an example the Spaniards captured the French to slay them and cut their genital part and put them in their mouth and then hung their bodies on barns, this occurred several times. When the French army passed the barn she was already appeurée but insita much hatred against the Spanish and it is for that that Spanish prisoner étaits among those most abused prisoners of war, and include This time one example of French grenadier who during a Spanish capture the eye of a cut Spanish and put the powder in place of the latter to make him literally bursting head.
    And that is why in the Battle of Saragossa, from house to house Spanish and French, fought a fierce battle at the cost of heavy losses on both sides with insults, and summary executions to take revenge on both sides.

Napoleon und der Iberischen Halbinsel (Seite 1/2)
                                                      (1808-1814)

I / Spanien vor der spanischen Landschaft
1) Spanien und die Welt
 
    Im Jahr 1800 Spanien ist eines der Länder, die auf "Alter" beginnt seit dem Beginn seiner Eroberungen wieder im Jahr 1492 mit der Entdeckung des Columbus Amerika war in den Dienst des spanischen Antifriction. Es ist von Neu-Spanien kommt, wie fast alle seine Reichtümer. Aus dem Tod von Karl V von Spanien begann, ein großes Gebiet zu verlieren, vor allem in Europa und sie verliert das aktuelle Belgien und die Gebiete in Süditalien.
     Im Jahr 1800 diese reduziert auf seine Halbinsel zurück, aber Napoleon an die Macht kam in Frankreich nach seinem Putsch und Spanien brauchte einen Verbündeten nach England im ständigen Krieg gegen sie zu besiegen, sondern auch mit einem weiteren Tor (aber dieser ziemlich versteckt), als mit Frankreich über Europa zu regieren. Als Portugal Verbündeten Englands und daher feindlich Spanien, würde eine leichte Beute für Frankreich verführen und haben einen bleibenden Frieden geben.
     
2) Der Krieg der "Orange"
  
    War der Orangen ist ein Krieg zwischen dem Königreich Spanien an das Königreich Portugal, ist dieser Krieg so genannt, weil der Ministerpräsident Manuel de Godoy, der militärischen Operationen Ramaća Orangen unter den Mauern von Elvas führte zu den Webseiten Reinne von Spanien als ein Zeichen von seinem Sieg gegen Portugal.
    Der Krieg brach aus, als die Eingabe der spanischen Truppen in Portugal 20. Mai 1801, wird der Krieg kurz sein, weil es abgeschlossen sein wird 6. Juni 1801, als der Vertrag von Badajoz.
   Grundsätzlich ist dieser Krieg wurde von Napoleon Bonaparte verursacht als die anglo-portugiesischen Handel blieb in Kraft, während ein Kontinentalsperre wurde von der ersten Consul organisierte, und forderte die spanische Bündnis gegen England, und die erste Ziel wäre évidament werden Portugal. So verhängte sie ein Ultimatum an Portugal mit solchen Bedingungen des Friedens:

Der Verzicht auf die alte Bündnis mit England und der Schließung ihrer Häfen auf britische Schiffe und ihre Offenheit gegenüber Frankreich und Spanien

Der Verkauf der Gebiete entsprechend einem Viertel der Stadtbevölkerung als Devolution Garantie oder die Veräußerung von spanischen Inseln zu Englisch Hände (Trinidad, Menorca, Malta)

Die Zahlung der Reparationen an Frankreich und Spanien

Die Revision der Grenzen mit Spanien.

    Und nicht zu akzeptieren, um nicht stören England, aber dies wird in den Krieg zu führen. Portugal hat eine Armee von 2000 Reitern und 16.000 Infanteristen eingesetzt, während Spanien hat 30.000 Soldaten im Einsatz und würde die Französisch Verstärkungen mit einer Kraft von 15.000 Mann zu empfangen.

    Certe Portugal den Krieg verloren, aber seine colony'll verdienen Stufe der spanischen Gebiete in Brasilien. Es war ein schrecklicher Krieg in Portugal, weil sie mussten ihre Häfen für England zu schließen, um eine Kriegsentschädigung nach Spanien zu zahlen und geben Olivenza
II / Spanien und Frankreich im Jahre 1808 (Seite 2/2)
       1) Spanien vor 1808

    Spanien vor 1808 war die mächtigen Verbündeten Napoleons, sie immer gegen das Vereinigte Königreich, seine erbliche Verbündeten für die Vergangenheit fast vier Jahrhunderte lang gekämpft. Seine Flotte war einer der mächtigsten in der Welt, aber diese Flotte wurde im Herzen der Schlacht von Trafalgar im Oktober 1805 zerstört btw dieser Kampf ein Beweis der Herrschaft der Meere durch England, die sein wird, die sein Umgekehrt einige Monate später auf der Erde mit der Schlacht bei Austerlitz 2. Dezember 1805, Frankreich regelt die Erde und die Meere England.

      2) Halbinsel 1808-1814
 
    Im Jahre 1808 übernimmt Portugal in jedem Fall die Kontinentalsperre Napoleons, die versucht, sie zu verhängen, und sie öffnet auch seine Türen für britische Regimenter auf die Hilfe seiner ältesten Verbündeten kam, das ist, warum nach dem Vertrag fontainebleau Spanien führt eine Armee von Junot nach Spanien, aber Napoleon befahl beschlossen, als Murat senden und es war in diesem Moment, dass Napoleon machen die größte Dummheit seines Lebens, dass der vermischen Geschäfts Spanisch.
    Der spanische König Karl IV wurde von seinem Sohn Ferdinand gestürzt wurde Ferdinand VII, und die beiden Männer der spanischen Krone, fragte der arbritrage Napoleon. Er besuchte alle drei in Bayonne (nahe der spanischen Grenze) auf ihrer Konferenz Bayonne zwischen April und Mai 1808 und ist zur gleichen Zeit, die berühmte 3. Mai 1808, als Madrid stieg gegen die Französisch Armee stationiert dieses Mal in der Hauptstadt wie dem spanischen Volk glaubte, dass die königliche Familie wurde von der Französisch gehalten, und es war dann, dass Napoleon beschloss, seinen Bruder Joseph Bonaparte, dann König von Neapel, auf dem spanischen Thron gesetzt, Neapel durch geführt werden seine Stiefbruder Joachim Murat. Am 3. Mai 1808 markiert den Beginn einer erbitterten Kampf nicht gegen die spanische Armee, sondern gegen die iberische Halbinsel als repellons die Französisch Armee kontrolliert die ganze Halbinsel, als die spanische Bevölkerung stieg.

    3) Guerilla

    Guerilla, auch "kleinen Krieg" ist ein Adjektiv, das den Krieg, die die Halbinsel im Jahr 1808 getroffen, und sogar vor diesem Zeitpunkt, Portugal CREEA von Caçadores von Einheiten, die Französisch Armee, die das ganze Portugal besetzt schwächen beschreibt. Die Soldaten dieser kleinen Krieg Bevölkerung gegen den Insassen, die den Widerstand im Zweiten Weltkrieg während der Nazi-Okkupation des Dritten Reiches war Handwerker, Bauern, Landwirte usw. entsprechen könnten erhoben ... die Französisch Beruf, und viele andere Menschen in Europa tat dasselbe nach dem Vorbild Halbinsel.
    Diese Guerilla sollte die Französisch Armee schwächen als der Durchschnitt der Guerilla war sehr begrenzt und nicht schwächen seine kriegerischen, in der Regel die Männer der Guerilla getötet oder gefangen genommen, die Französisch zu foltern, um die Auswirkungen verursachen Moral von der Besatzungsarmee zu nennen als Beispiel die Spanier den Französisch, sie zu töten und schneiden ihre Genitalteil und steckte sie in den Mund und dann hing ihre Körper auf Scheunen, geschah dies mehrmals. Wenn die Armee Französisch bestanden die Scheune war sie bereits appeurée aber insita viel Hass gegen die Spanier und es ist für die, die spanischen Gefangenen étaits unter den am meisten missbrauchte Kriegsgefangene und umfassen Diesmal ein Beispiel für Französisch Grenadier, die während einer spanischen, zieht die Blicke eines Schnittes Spanisch und legte das Pulver anstelle des letzteren, um ihn platzen buchstäblich Kopf.
    Und aus diesem Grund in der Schlacht von Saragossa, von Haus zu Haus Spanisch und Französisch kämpfte einen erbitterten Kampf um den Preis schwere Verluste auf beiden Seiten mit Beleidigungen und Hinrichtungen, Rache auf beiden Seiten.

L’exemple le plus flagrant est celui de la fameuse bataille de Valmy : Là où le mythe révolutionnaire enseigné par tous les hussards de la république fait état d’une grande et nette victoire, avec pertes considérables chez l’ennemi, la réalité est tout autre. La bataille de Valmy n’a pas eu lieu ou presque. Le duc de Brunswick, commandant d’une armée prussienne de 35 000 hommes, se retire après une journée (20 septembre 1792) où ses troupes ne sont pas parvenues à atteindre la butte sur laquelle les français sont situés. Dumouriez, commandant des forces françaises (Avec l'armée du Centre de Kellerman), fait foncer une partie de son armée pour résister aux assauts prussiens. L’armée française, légèrement supérieure en nombre à l’ennemi, lui est nettement inférieure en matériel, en cohésion, et en expérience. C’est certes la motivation de fantassins désorganisés et disparates, encouragés par les cris de Kellermann « Vive la nation », qui impressionne finalement Brunswick et le fait ordonner un repli alors que la victoire était objectivement à sa portée. Mais l’essentiel est surtout que le gros des troupes de chaque armée était situé sur deux buttes distantes de 2.3 km (et séparées par un épais brouillard), ce qui les plaçait respectivement hors de portée des tirs d’artillerie adverses et interdisait (heureusement) une boucherie (comme celle de Gettysburg plus tard). La « bataille » était en fait une succession de charges prussiennes repoussées et n’a fait en réalité « que » quelques centaines de morts…
The most obvious example is the famous battle of Valmy: Where the revolutionary myth taught by all the hussars of the republic reported a large and clear victory, with considerable losses to the enemy, the reality is other. The Battle of Valmy did not occur almost. The Duke of Brunswick, commander of a Prussian army of 35,000 men, retires after a day (20 September 1792), where his troops have failed to reach the hill on which the French are located. Dumouriez, commander of the French forces (With the army of Kellerman Centre), made darker part of his army to resist the Prussian assaults. The French army, slightly superior in number to the enemy, it is much lower in hardware, cohesion and experience. It is certainly the motivation of disorganized and disparate infantry, encouraged by the cries of Kellermann "Long live the nation," which ultimately impresses Brunswick and the fact order a retreat when victory was objectively within range. But the key is above the main body of each army was located on two distant buttes 2.3 km (separated by a thick fog), placing them respectively out of reach of enemy artillery and prohibited (thankfully ) butcher (like the Gettysburg later). The "battle" was in fact a succession of Prussian loads pushed and did in fact "only" a few hundred deaths ...
Das offensichtlichste Beispiel ist die berühmte Schlacht von Valmy: Wo die revolutionäre Mythos von allen Husaren der Republik gelehrt berichtet über einen großen und klaren Sieg, mit erheblichen Verlusten für den Feind, die Realität andere. Die Schlacht von Valmy nicht fast auf. Der Herzog von Braunschweig, Kommandeur einer preußischen Armee von 35.000 Mann, zieht sich nach einem Tag (20. September 1792), in dem seine Truppen nicht gelungen ist, den Hügel, auf dem die Französisch befinden erreichen. Dumouriez, Kommandeur der Französisch Kräfte (mit der Armee von Kellerman Centre), machte dunkleren Teil seiner Armee, um die preußischen Angriffen zu widerstehen. Die Französisch Armee, die in der Anzahl der Gegner leicht überlegen, ist es in der Hardware, des Zusammenhalts und Erfahrung viel niedriger. Es ist sicherlich die Motivation unorganisiert und disparate Infanterie, von den Schreien der Kellermann ermutigt "Es lebe die Nation", die schließlich überzeugt Braunschweig und die Tatsache, um einen Rückzug als Sieg war objektiv in Reichweite. Aber der Schlüssel ist über dem Hauptkörper jeder Armee auf zwei entfernte Buttes 2,3 km (durch einen dichten Nebel getrennt) befindet, indem sie jeweils in die Hände von feindlichen Artillerie und verboten (zum Glück ) Metzger (wie die Gettysburg später). Der "Kampf" war in der Tat eine Reihe von preußischen Lasten geschoben und in der Tat "nur" ein paar hundert Todesfällen ...

prelude waterloo
June 9 -

• CPT MERCENARY FRANCE
  History
  Prelude to Battle
  
  
  November 1814
  After the first abdication of Napoleon and the sending of Elba, a European Congress (including a representative of France) met in Vienna to settle the fate of the territories listed in Napoleon 1st, sign the conditions of peace , determine the borders and try to establish a new sustainable peace in Europe.
  
  
  
  March 1815
  Napoleon escaped from Elba and landed at Golfe Juan with 1,028 troops and some faithful on 1 March 1815.
  Congress declares it immediately and unanimously off-the-law, and the four great powers, Britain, Prussia, Austria and Russia, commit to each raise an army to invade France and depositing the usurper.
  Six days later the deposed Emperor is in Gap. He entered Grenoble and Lyon on 9 March 11, 1815.
  On March 20, he returned to the Tuileries without firing a single shot. The same night he formed his government is working to reorganize his military and the French army.
  On March 25, 1815, the Allied - Austrians, Prussians, Russians and English - get together and sign, military treaty called the "Holy Alliance", confirming the resolutions of the Treaty of Vienna of 13 March 1815 that put Napoleon banished of Europe and by which all allied European powers undertook to gather an army of over 900,000 men.
  
  
  
  April-June 1815
  Responding to the wishes of his ministers anxious to prevent a new conflict, the Emperor address April 4, 1815, letter to the sovereigns of the Allied offering them a lasting peace. But the bearers of the letter were arrested and imprisoned. The war then becomes inevitable!
  Warned of the attack of the allied troops, scheduled for early July 1815, Napoleon took the initiative. The June 12, 1815 at 4 am, Napoleon left Paris to join his army.
  On June 13 it is in Avesnes where he launched his famous proclamation to the Army that ends with the phrase "For French with heart, the time has come to conquer or perish! ". The coalition nations arm themselves to fight Napoleon. The allied army of Wellington and the Prussian army of Blücher arrive first in Belgium.
  
  
  
  June 15, 1815
  Napoleon crossed the Sambre at Charleroi and divided his army into two wings.
  
  
  
  June 16, 1815
  Napoleon defeated the Prussians commanded by Blücher at Ligny while in Quatre Bras, the other part of the French troops commanded by Marshal Ney mound against the Anglo-Dutch units commanded by Wellington. The Prussian army lost more than 20,000 men and French losses amounted to about 7 000 men. The Prussian army is beaten but not defeated. She saved most of his artillery and especially preserved its fighting spirit. Aux Quatre-Bras Baisy-Thy, Marshal Ney comes face to Wellington and the Prince of Orange, but fails to put the Anglo-Dutch units in difficulty. The French losses amounted to more than 4,000 men and those of Wellington's troops were about 5,000 men.
  

prélude a waterloo
9 JUIN - [*VGS*] CPT MERCENAIRE FRANCE
Histoire
Prélude à la Bataille


Novembre 1814
Après la première abdication de Napoléon et son envoi sur l’Ile d’Elbe, un Congrès européen (dont un représentant de la France) se réunit à Vienne, pour régler le sort des territoires repris à Napoléon 1er, signer les conditions de la paix, déterminer les frontières et tenter d'établir un nouvel ordre pacifique durable en Europe.



Mars 1815
Napoléon s’est évadé de l’Ile d’Elbe et débarque à Golf Juan avec 1028 hommes de troupe et quelques fidèles le 1er mars 1815.
Le Congrès le déclare immédiatement et à l’unanimité hors-la-loi, et les quatre grandes puissances, Grande-Bretagne, Prusse, Autriche et Russie, s’engagent à lever chacune une armée pour envahir la France et déposer l’usurpateur.
Six jours plus tard, l’Empereur déchu est à Gap. Il entre à Grenoble le 9 et Lyon le 11 mars 1815.
Le 20 mars il rentre aux Tuileries sans avoir tiré un seul coup de feu. La même nuit il forme son gouvernement et s’attelle à la réorganisation de sa maison militaire et de l’armée française.
Le 25 mars 1815, les Alliées – Autrichiens, Prussiens, Russes et Anglais – se réunissent et signent, le traité militaire dit de la « Sainte Alliance», ainsi confirmant les résolutions du Traité de Vienne du 13 mars 1815, qui mettait Napoléon au ban de l’Europe et par lequel toutes les puissances européennes alliées s’engageaient à réunir une armée de plus de 900.000 hommes.



Avril - Juin 1815
Répondant au vœu de ses ministres soucieux d’empêcher un nouveau conflit, l’Empereur adresse le 4 avril 1815, une lettre aux souverains des Puissances alliées leur proposant une paix durable. Mais les porteurs de la lettre sont arrêtés et emprisonnés. La guerre devient dès lors inévitable !
Averti de l’attaque des troupes coalisées, prévue pour le début juillet 1815, Napoléon prend l’initiative. Le 12 juin 1815 à 4h du matin, Napoléon quitte Paris pour rejoindre son armée.
Le 13 juin il est à Avesnes où il lance sa fameuse proclamation à l’Armée qui se termine par la phrase « Pour tout Français qui a du cœur, le moment est arrivé de vaincre ou de périr ! ». Les pays coalisés s’arment pour combattre Napoléon. L’armée alliée de Wellington et l’armée prussienne de Blücher arrivent les premières en Belgique.



15 juin 1815
Napoléon franchit la Sambre à Charleroi et divise son armée en deux ailes.



16 juin 1815
Napoléon bat les Prussiens commandés par Blücher à Ligny tandis qu’aux Quatre-Bras, l’autre partie des troupes françaises commandée par le maréchal Ney butte contre les unités Anglo-néerlandais commandées par Wellington. L'armée prussienne perd plus de 20.000 hommes et les pertes françaises s'élèvent à environ 7 000 hommes. L'armée prussienne est battue mais pas vaincue. Elle a sauvé l'essentiel de son artillerie et surtout conservé son esprit combatif. Aux Quatre-Bras de Baisy-Thy, le maréchal Ney se retrouve face à Wellington et le Prince d’Orange, mais ne parvient pas à mettre les unités Anglo-néerlandais en difficulté. Les pertes françaises s’élèvent à plus de 4.000 hommes et celles des troupes de Wellington sont d’environ 5.000 hommes.